» Car il n’y a rien de caché qui ne doive être découvert, ni rien de secret qui ne doive être connu «  (Mat 10:26)

 »Suite de » : https://michelledastier.com/index.php/2012/03/11/2298-comment-satan-agit-dans-nos-institutions-et-dans-la-vie-politique-de-la-france-de-l-europe-et-du-monde1ere-partie-la-chronique-de-michel-andre

La doctrine luciférienne et l’esprit de l’Antéchrist. Les forces mystiques qui dirigent le monde.

Il ne fait pas bon d’être partisan de la  » théorie du complot « , de passer pour des conspirationnistes, mais l’évidence de la manipulation devient hélas de plus en plus claire chaque jour.

Rien, aucun événement majeur qui se passe sur la planète Terre n’est du au hasard. Les hommes, à  cause de leur nature déchue, sont à  100% responsables de leur propre malheur. On peut accuser la nature, les astres, les circonstances, ou quoique ce soit, l’homme est naturellement mauvais et creuse sa propre tombe, peut-être parfois par ignorance, mais le plus souvent de son plein gré.

Comment peut-on imaginer que les guerres et les révolutions seraient le fruit de circonstances malheureuses, ou que les famines, les épidémies proviendraient des dérèglements climatiques, ou encore que les crashs boursiers résulteraient d’on ne sait quelle cause extérieure ?

Non, les guerres, les famines, les crises financières, les catastrophes climatiques viennent de l’homme lui-même, toujours à  la poursuite d’un seul but : se prendre pour Dieu et dominer sur le monde.

Hélas, ce sont les mêmes qui domineront sur les autres, les forts contre les faibles, les riches contre les pauvres, les puissants contre les sans-grades. La puissance financière est à  l’œuvre dans ce monde matérialiste, c’est ce faux dieu Mammon qui régit les peuples et leurs gouvernants, leur intimant ce perpétuel mot d’ordre :

 » Plus, toujours plus ! « .

Satan, le prince de ce monde, distille l’orgueil, la cupidité et l’avarice dans le cœur des hommes leur faisant croire que l’argent, ce mauvais maître, leur permettra de tout acheter. Il avait déjà  menti à  Ève en prétendant qu’un simple fruit pourrait lui ouvrir les yeux et lui donner la Connaissance pour se faire l’égale de Dieu ! Quelle stupide tragédie ! Et l’humanité paye le prix fort de cet orgueil démesuré qui subsiste et subsistera jusqu’à  la fin.

C’est ainsi que des hommes enflés d’orgueil et de méchanceté ont commencé à  étendre leurs tentacules sur le monde depuis des siècles, hommes qui se glorifient de leurs richesses et de leur pouvoir mal acquis.

Depuis la chute, l’esprit de l’Antéchrist est à  l’œuvre dans le monde, ayant revêtu au fil des siècles les aspects les plus divers.

Cet esprit a possédé plus d’un homme. Tous les tyrans et la plupart des chefs d’états ont sacrifié à  cet esprit, par les sociétés secrètes venues de l’Égypte et de Babylone. Nimrod, et son épouse Sémiramis -que l’Église romaine a déifiée en la faisant passer pour Marie- la  » Mère de Dieu « – ont été certainement les premiers grands occultistes des temps babyloniens en reproduisant les manifestations visibles de cette arrogance qui ont traversé toute l’Histoire de l’Humanité jusqu’à  aujourd’hui.

Leurs desseins secrets n’étaient-ils pas de défier la Grandeur du Dieu créateur en se faisant eux-mêmes passer pour des dieux ?

 » J’ai dit : vous êtes des dieux «  (Ps.82/6).

Mais on oublie le verset suivant qui dit :  » Néanmoins vous mourrez comme des hommes, vous tomberez comme tout autre chef ! « .

Aujourd’hui, ce sont des hommes et des femmes fortement impliqués dans le satanisme par le même truchement des sociétés secrètes, qui font et défont les mailles d’un filet qui emprisonne peu à  peu le monde pour le mener à  une irrémédiable perte. Mensonges, trahisons, corruption sont l’apanage de ces individus aux apparences trompeuses.

Qui gouverne nos nations ?

L’Amérique est dirigée par le Concil on Foreign Relations (CFR), l’Europe par la Synarchie-vaste consortium de têtes couronnées et de banquiers affairistes corrompus, l’Angleterre et ses dominions par la Round Table- résurgence modernisée des Ordres Templiers anciens, et par la Fabian Society (1). Le groupe Bilderberg et la Commission Trilatérale complètent cet arsenal d’essence luciférienne ainsi que divers groupes de  » réflexion  » ou Think Tanks plus ou moins occultes. Les pouvoirs nationaux sont remplacés par des pouvoirs supra-nationaux qui décident de tout jusqu’aux montants du SMIC et des retraites. Le monde est en train d’être divisé en 10 biorégions conformément aux directives du Club de Rome en 1958 (!), mises en place par l’ONU et prophétisées par Daniel (3/1-6) dans la vision du roi Nebucadnetsar.

Les cas de N. Sarkozy et B. Obama : alliance entre mensonge et corruption

Depuis que le monde est ce qu’il est, la course au pouvoir n’a de cesse de devenir de plus en plus effrénée, quitte à  ce que la corruption, les réseaux et autres influences occultes interviennent directement ou non dans le choix des Chefs d’état et gouvernants de la planète. Nous nous attarderons sur deux cas particuliers qui illustrent parfaitement cela, à  l’heure où les deux continents Européen et Américain sont directement impliqués dans cet  » hyperphénomène  » planétaire qu’est la résurgence du babélisme que l’on nomme mondialisme.

Nicolas Sarkozy, né en 1955, et dont l’identité réelle est fortement contestée (cf. Extrait de naissance reproduit ci-dessous) est le fils d’un noble catholique hongrois, Pal (Paul) Sarkà¶zy de Nagy-Bocsa, artiste peintre, réfugié en France après avoir fui l’Armée Rouge, et d’Andrée Mallah, une roturière juive originaire de Thessalonique. Après avoir eu trois enfants, le couple divorce et Pal Sarkà¶zy se remarie avec une aristocrate, Christine de Ganay, dont il aura deux enfants. Le jeune Nicolas sera  » balloté  » dans une famille recomposée. Sa mère deviendra la secrétaire d’Achille Peretti, ancien maire de Neuilly-sur-Seine, ancien garde du corps de Charles de Gaulle, co-fondateur du SAC avec le  » Monsieur Afrique  » de De Gaulle, Giscard, Chirac et Miterrand, Jacques Foccart (Service Action Civique, officine semi-secrète ayant trempé dans des assassinats et autres bonnes actions).

En 1972, Achille Peretti est mis en cause dans l’existence d’une organisation criminelle  » l’Union corse  » qui contrôlerait une grande partie du trafic de stupéfiants entre l’Europe et l’Amérique, la fameuse  » French connection « . C’est le magazine américain Time, qui dévoile les faits en citant le nom d’un chef mafieux, Jean Venturi, délégué commercial de la société d’alcool Ricard dirigée par Charles Pasqua. Peretti, alors Président de l’Assemblée Nationale, bien que niant les faits, est obligé de démissionner.

En 1977, Pal Sarkà¶zy se sépare de sa seconde épouse, Christine de Ganay, laquelle se lie avec le n °2 de l’administration centrale du département d’État des États-Unis, Frank Wisner Jr, qui joue un rôle important à  la CIA. Le jeune Nicolas, qui est resté proche de sa marâtre et de ses demi frère et sœur, se tourne vers les États-Unis, où il  » bénéficie  » des programmes de formation du département d’État.

En 1982, Nicolas Sarkozy épouse la nièce d’Achille Peretti, avec comme témoin de mariage Charles Pasqua, puis il devient maire de Neuilly-sur-Seine tandis que Peretti meurt terrassé par un infarctus. Nous passerons sur les diverses frasques amoureuses de Nicolas Sarkozy et nous arrivons en 1993, lorsque la gauche perd les élections législatives. François Mitterrand entre en cohabitation avec un Premier ministre de droite : C’est Édouard Balladur qui devient Chef du gouvernement, et Charles Pasqua est nommé ministre de l’Intérieur. Celui-ci profite de sa fonction pour légaliser des activités  » sulfureuses « , en prenant le contrôle des casinos, jeux et courses en Afrique francophone, tout en gardant la haute main sur le trafic de marijuana marocaine. Il tisse également des liens en Arabie Saoudite et en Israël et devient même officier d’honneur du Mossad. Sarkozy, quant à  lui, devient ministre du Budget et porte-parole du gouvernement.

A Washington, Frank Wisner succède à  Paul Wolfowitz en tant que responsable de la planification au département de la Défense, tandis qu’en France le gouvernement Balladur amorce, sur les instructions de Londres et de Washington, des négociations d’adhésion à  l’Union européenne et à  l’OTAN des États d’Europe centrale et orientale, désormais libérés du joug soviétique.

Bien avant la crise irakienne, Wisner Jr. et ses collaborateurs de la CIA planifient la destruction du courant gaulliste et la montée en puissance du futur candidat Sarkozy. Il faut signaler que Wisner est un agent éminent et influent dans le secteur de l’espionnage économique pour le compte de la CIA, et présent dans la plupart des organes décisionnels occultes des États-Unis, Council on Foreing Relations (CFR) notamment.

Quel rapport y-a-t-il donc entre Frank Wisner Jr. et l’accession au pouvoir de Nicolas Sarkozy ?

Tout d’abord, il faut noter que la campagne électorale de l’UMP qui a permis à  Sarkozy d’être élu, était manipulée dans l’ombre, depuis Washington par un certain David Wisner, fils du précédent. Ensuite, il semble que la ténébreuse affaire Clearstream, déclenchée en 2004 ait grandement facilité la liberté d’action du candidat Sarkozy en lui permettant d’éliminer son rival Dominique de Villepin : de faux listings ont circulé accusant mensongèrement plusieurs personnalités de cacher des comptes bancaires au Luxembourg, chez Clearstream. Parmi ces personnalités : Nicolas Sarkozy. Celui-ci porte plainte et accuse son rival de droite à  l’élection le Premier ministre Dominique de Villepin d’avoir fomenté cette machination. En fait, d’après des renseignements classés  » top-secret « , il s’avère que ces faux-listings ont été mis en circulation par des membres de la Fondation franco-américaine (French American Fondation- FAF) dont Frank Wisner est administrateur. Les listings auraient été fabriqués à  Londres par une officine commune à  la CIA et au MI6, Hakluyt § Co, dont Wisner Jr. est également administrateur…

Le Premier ministre malheureux de Villepin est mis en examen, assigné à  résidence et, de facto, écarté provisoirement de la vie politique. La voie est libre pour Nicolas Sarkozy. Il ne restait plus qu’à  neutraliser les candidats de l’opposition. De nouveaux militants sont recrutés au sein du parti socialiste, qui sont en réalité des militants du parti trotskiste  » lambertiste  » du nom de son fondateur Pierre Lambert. Cette formation de gauche a souvent été une sorte de bras armé de la CIA contre les communistes staliniens durant la période de la Guerre froide. Des primaires sont organisées au sein du Parti socialiste. Deux personnalités sont en concurrence : Laurent Fabius et Ségolène Royal. Seul Fabius représente un réel danger pour Sarkozy grâce à  ses incontestables compétences en économie. C’est alors que Dominique Strauss-Kahn entre dans la course avec pour mission d’éliminer Fabius, et c’est en effet ce qui se produira grâce aux votes des  » lambertistes  » infiltrés, qui porteront leurs suffrages sur Ségolène Royal. Ce coup de maître a été rendu possible parce que DSK est en faveur aux USA, où il donne des cours, grâce à  Condoleezza Rice, prévôt de l’Université de Stanford. Cet échange de bons procédés sera grandement récompensé par la nomination de DSK au Fonds monétaire International. (source : voltairenet.org)

Aussitôt nommé à  la tête de l’État français, Nicolas Sarkozy s’entoure de quatre personnalités, hommes forts qui seront ses principaux  » mentors  » : Claude Guéant, ancien bras droit de Charles Pasqua, secrétaire général de l’Élysée, François Pérol, secrétaire adjoint de l’Élysée, associé-gérant de la banque Rothschild, Jean-David Lévitte, conseiller diplomatique. Ancien ambassadeur de France à  l’ONU, il fut relevé de ses fonctions par Jacques Chirac qui le trouvait trop proche de Georges Bush, Alain Bauer, chargé des services de renseignements. Cet ancien Grand Maître du Grand Orient de France, principale obédience maçonnique française, fut également n °2 de la NSA, National Security Agency états-unienne en Europe.

Sur l’insistance de F. Wisner Jr., Bernard Kouchner sera nommé ministre des Affaires étrangères avec une double mission : l’indépendance du Kosovo (dont on sait que ce fut au prix d’un génocide abominable) et la liquidation de la politique arabe de la France. De 1999 à  2001, Kouchner fut le Haut représentant de l’ONU au Kosovo.

Pour compléter son gouvernement, Sarkozy nomme Christine Lagarde, ministre de l’Économie et des Finances. Elle a fait toute sa carrière aux États-Unis où elle a dirigé le prestigieux cabinet de juristes Baker § McKenzie. Au sein du Center for International § Strategic Studies(CSIS) de Dick Cheney (membre très actif du CFR), elle a co-présidé avec Z. Brzezinski (CFR, Bilderberg, Trilatérale) un groupe de travail qui a supervisé les privatisations en Pologne (pays d’origine de Brzezinski). Elle a aussi organisé un intense lobbying pour le compte de Lockheed Martin contre l’avionneur français Marcel Dassault. En cela, Mme Lagarde a plutôt favorisé les intérêts des États-Unis contre ceux de l’Europe, et de son pays en particulier. Elle est, à  présent, à  la tête du FMI en  » remplacement  » de D. Strauss-Kahn.

Pour clore ce passionnant panégyrique familial, notons que Pierre-Olivier Sarkozy, demi-frère de Nicolas a été nommé par Frank Carlucci (qui fut n °2 de la CIA recruté par Frank Wisner Sr.) directeur d’un nouveau fonds de placement du Carlyle Group qui gère, entre autres, les portefeuilles des familles Bush et Ben Laden.

On ne peut contester l’étroite amitié entre N. Sarkozy et Barack Obama, certainement à  l’origine de bien des décisions politiques bilatérales concernant des actions concertées dans les pays arabo-méditerranéens, dont les objectifs hautement inavouables ressortent pourtant clairement : s’emparer des richesses naturelles, pétrole en particulier, en ayant soin d’écarter au préalable, sous prétexte de  » révolutions démocratiques « , les pouvoirs en place depuis des décennies.

Barack Hussein Obama, élu en 2008, 44ème président des États-Unis, n’a jamais renié ses origines musulmanes, bien qu’ayant lui aussi- On le sait- certainement  » trafiqué  » ses véritables origines*.

Né d’un père kényan et d’une mère américaine blanche de souche irlandaise, il apparaît comme le  » sauveur  » des populations noires d’Amérique. C’est le pasteur Rick Warren, dont nous reparlerons plus tard, qui prononcera une prière lors de son intronisation, puisqu’Obama s’est toujours déclaré chrétien… de 1983 à  1984, Barack Obama exerça en tant qu’analyste financier au sein de la Business International Corporation, société écran de la CIA. Sa mère, Ann Stanley Dunham qui fut espionne au service de la CIA rencontra Barack Obama senior en 1959 à  Hawaï. Un programme d’étudiants africains était géré par un leader nationaliste Tom Mboya, mentor et ami d’Obama senior. Ce Mboya était un étroit collaborateur de la CIA, dans le but d’empêcher les nationalistes pro-soviétiques et pro-chinois de dominer sur les mouvements nationalistes panafricains dans les milieux politique, étudiant et ouvrier.

En Indonésie où elle demeura, la mère d’Obama enseignait l’anglais pour le compte de l’USAID, vaste organisation qui servait de couverture aux activités secrètes de la CIA en Indonésie et dans toute l’Asie du Sud-Est, au Laos, au Sud-Viêt Nam et en Thaïlande. Ann Dunham confia le jeune Obama à  sa mère, Madelyn Dunham, vice-présidente de la Banque de Hawaï à  Honolulu. Elle s’occupait de la gestion des comptes cachés que la CIA utilisait pour les transferts de fonds au bénéfice des dictateurs en place en Asie, tels que le Président de la République des Philippines, Ferdinand Marcos, le Président de la République du Viêt Nam, Nguyen Van Thiêu, et le Président de la République d’Indonésie, le général Suharto, le tout avec la bénédiction du diplomate richissime Henry Kissinger, expert en tractations douteuses pour le seul profit des États-Unis. La Banque de Hawaï se chargeait du blanchiment d’argent de la CIA, afin de dissimuler le soutien qu’accordait la CIA à  ses leaders politiques préférés dans la région Asie-Pacifique.

Des projets secrets furent menés par la CIA en collaboration avec l’Université d’Hawaï dans les années 50 à  70 : Les opérations MK-ULTRA(MONARCH) , ARTICHOKE et SCANATE, dont les existences furent dévoilées dans les années 70 à  75, étaient des programmes de recherche sur les modifications comportementales, le lavage de cerveau, l’hypnose et l’injection de drogues (LSD entre autres) de façon à   » fabriquer  » des êtres dénués de toute personnalité, aptes à  obéir à  n’importe quel ordre émanant d’une autorité. Le Docteur Sidney Gottlieb, sous l’impulsion d’Allan Dulles alors directeur de la CIA, initia dès 1953 des travaux destinés à  optimiser des techniques de surveillance à  distance et de manipulation psychologique, en réponse à  des utilisations supposées de techniques de contrôle mental qui auraient été faites par l’Union soviétique, la Chine et la Corée du nord sur des prisonniers de guerre américains lors de la guerre de Corée.

Cette collaboration de l’Université de Hawaï, dans laquelle le jeune Obama avait poursuivi ses études, avec la CIA dans le domaine de la guerre psychologique est encore d’actualité. Le Docteur Susan Brandon, actuel directeur du programme d’études comportementales mené par la CIA a obtenu son doctorat de Psychologie à  l’Université de Hawaï. Elle aurait été impliquée dans un programme scret, issu de la collaboration de l’APA (American Psychological Association), de la RAND Corporation et de la CIA, destiné à  «  améliorer les procédés d’interrogatoire  » ; l’objet de ses recherches portait sur les privations de sommeil et de perception sensorielle, la soumission à  des douleurs intenses et l’isolation complète, des procédés mis en œuvre sur les prisonniers de la base aérienne de Bagram en Afghanistan et d’autres prisons secrètes. Brandon fut également l’assistante du directeur du Département des sciences sociales, comportementales et éducatives au Bureau des sciences et des technologies dans l’administration de George W. Bush. (source : voltaire.net  » La biographie cachée des Obama : une famille au service de la CIA  » article de Wayne Madsen).

On peut fortement douter de l’ignorance de Barack Obama au sujet des liens entretenus par ses parents, de son beau-père et de sa grand-mère entre la CIA et l’Université d’Hawaï, notamment concernant ces projets MK-ULTRA et ARTICHOKE qui ouvrent la porte à  d’autres projets non moins sulfureux. Le Tavistok Institute à  Londres est une officine qui  » œuvre  » avec les mêmes objectifs de contrôle mental et de dépersonnalisation des individus, pour en faire des esclaves-meurtriers programmés. Ces mêmes travaux avaient déjà  été imaginés et pratiqués pendant la deuxième Guerre mondiale par des personnages comme Josef Mengele et l’officier SS Heinrich Himmler.

À la différence de la dynastie Bush, Barack Obama a su cacher ses propres liens avec la CIA et en particulier, ceux de sa famille, jusqu’à  aujourd’hui.

Pendant les dix premiers jours de sa présidence, Obama a nommé onze hauts fonctionnaires issus de la Commission Trilatérale à  des postes-clés de son administration, introduisant ainsi une puissante force extérieure dans le leadership de son gouvernement, mais avec un agenda de base qui porte fortement préjudice aux citoyens des États-Unis. C’est Brzezinski qui est cofondateur de la Commission (1973) avec David Rockefeller. Plusieurs de nos oligarques français et européens sont membres de la branche européenne, parmi eux, citons Jean-François Copé, Anne Lauvergeon (ex-présidente de la société AREVA), Elisabeth Guigou, ancien ministre de François Mitterrand et de Jacques Chirac, Mario Monti, président du Conseil italien, Jean-Claude Trichet ancien président de la BCE, Jean-Louis Bruguières ancien juge d’instruction ayant eu à  charge plusieurs dossiers terroristes…

La Commission Trilatérale est une sorte de forum mondial de  » penseurs  » adeptes d’un grand capitalisme international, d’une intensification de l’exploitation mondiale du travail et d’une hégémonie militaire mondiale des pays les plus riches de la planète et de leurs compagnies multinationales. Espèce de grand parti politique mondial, elle regroupe les personnalités les plus influentes des sphères de l’économie, de la finance et des médias qui occupent les postes stratégiques de leurs pays respectifs. Son objectif initial était de constituer un Nouvel ordre économique international. C’est Henry Kissinger, ex-Secrétaire d’État étasunien qui est la  » tête pensante  » de l’élite américaine.

Malheureusement pour lui, bien qu’il ait été nommé en 1973 Prix Nobel de la Paix (comme Obama récemment), M. Kissinger est impliqué dans plusieurs génocides, ce qui a un effet assez désastreux sur son image de leader mondial… il a organisé les bombardements des populations civiles au Viet Nam, au Laos et au Cambodge, a fait assassiner le général chilien Schneider pour barrer la route à  M. Allende, est directement à  l’origine du génocide au Timor Oriental, a littéralement ruiné la démocratie au Bangladesh. En tant que président de sa société Kissinger Associates, il a vendu des armes à  des dictateurs pro-américains, organisé des tractations secrètes avec des régimes corrompus. Ce multimilliardaire à  l’aspect faussement débonnaire, cultivait sans vergogne à  la fois la violence, le mensonge et le secret sous une apparence de diplomate  » bien pensant « . Tous ces méfaits lui mériteraient, à  plus d’un titre, de comparaître devant le Tribunal Pénal International pour crimes contre l’humanité…

C’est Jimmy Carter qui fut le premier président élu en 1976 tout en étant membre de la Commission Trilatérale. En grande majorité, le peuple américain ignore tout des desseins occultes de cet organe dont le pouvoir a lentement mais sûrement usurpé le pouvoir officiel. Les concepts d’État-nation, de souveraineté des pays et du rôle de l’État dans la société sont désormais totalement désuets face à  ces géants représentés par les cartels bancaires et les corporations transnationales.

Dans le contexte électoral que nous vivons actuellement, aussi bien en France qu’aux États-Unis, on comprend assez bien pourquoi MM. Obama et Sarkozy cherchent à  s’accrocher au pouvoir dans l’objectif d’achever le travail d’assujettissement commencé depuis plusieurs décennies et prescrit par l’agenda mondialiste : ils sont, l’un comme l’autre, les agents d’exécution des directives édictées en haut lieu, tout en laissant croire qu’ils sont ceux que le peuple aura légitimement élu.

(à  suivre)

 » Comme ils n’ont pas jugé bon d’avoir la connaissance de Dieu, Dieu les a livrés à  une mentalité réprouvée, pour commettre des choses indignes ; ils sont remplis de toute espèce d’injustice, de méchanceté, de cupidité, de perfidie ; pleins d’envie, de meurtre, de discorde, de fraude, de vice  » (Rm 1/28-29).

(1) La Fabian Society – Société Fabienne en français, du nom du général romain Quintus Fabius Maximus, est un club politique anglais de mouvance socialiste et réformatrice, très impliqué dans le processus de la mondialisation. D’un point de vue  » philosophique  » les fabiens sont des héritiers des Lumières, donc de l’humanisme qui prévaut chez les tenants du Nouvel Ordre Mondial. Bien que plutôt défavorable au marxisme, la F.S est partisane de la collectivisation des moyens de production et de leur gestion. Elle est à  l’origine de la création de la London School Of Economics de laquelle sont issus bien des personnalités de la politique, de la finance, du monde des arts et de la culture tels Georges Soros, Romano Prodi, Richard Perle, Erik Orsenna, ancien conseiller de F. Mitterrand…