J’avais publié cet article en 2016. Mais il est d’une actualité si criante que je le remets en ligne, pour les intercesseurs.

Oui, nous pouvons proclamer cette parole – et bien d’autres – sur le pays, mais nous pouvons aussi chanter l’hymne national avec ce seul couplet, supprimé par des agents du diable ! Car Jésus est Roi de  France !


 » Lorsque je passe par la détresse, toi, tu préserves ma vie de la furie de l’ennemi, tu interviens pour me sauver. Oui, l’Éternel agira en ma faveur. Ton amour, ô Éternel, dure toujours. »  

(Psaume 138.7-8)

 

La version complète de  la Marseillaise  écrite en 1789, et déclarée « hymne national » compte 15 couplets ! Mais on ne chante que le premier… Le texte a subi plusieurs modifications au cours des ans. Ainsi un huitième couplet fut supprimé par Joseph Servan, ministre de la Guerre en 1792, du fait de son caractère religieux. En voici les paroles :

Dieu de clémence et de justice,
Vois nos tyrans, juge nos cœurs.
Que ta bonté nous soit propice,
Défends-nous de ces oppresseurs ! (bis)
Tu règnes au ciel et sur terre
Et devant Toi, tout doit fléchir.
De ton bras, viens nous soutenir,
Toi, grand Dieu, maître du tonnerre.

Ce texte reste inscrit dans le ciel ! N’est-ce pas là  une magnifique affirmation de ce que Dieu est, le Tout Puissant, mais aussi Celui qui veut se révéler à  chacun dans sa justice, sa clémence et sa bonté ? Dieu veut nous libérer de Satan et du péché, de nos tyrans et oppresseurs. Jésus les a vaincus à la croix. Pouvons-nous chanter ce couplet avec conviction ?

Jésus, depuis Clovis, par une alliance irrévocable, confirmée mille ans plus tard par Charles VII à l’instigation de Jeanne d’Arc, est ROI DE FRANCE ! Proclamons-le !