Le sage disait qu’il n’y a rien de nouveau sous le soleil.

Le monde git sous la puis- sance du malin et ce qui a été sera tel

l’ouroboros

encerclant la terre à  cause de l’alliance de l’homme déchu avec le monde animal (le serpent) et le monde ténébreux (satan).

La pratique de la délivrance, si combattue dans le corps de Christ, a pourtant mis en lumière les ruses du diable pour séduire et égarer le peuple de Dieu. La bible parle de Babylone, de la tour de Babel, de la prostituée assise sur les eaux (Isis est représentée avec une queue de poisson, qui peut devenir queue de serpent).

La Parole de Dieu a été écrite pour glorifier Dieu et révéler le mystère de la Piété (éphésiens 3.9  ; col 1.25) mais elle nous donne quelques indices pour démasquer le monde des ténèbres, le système babylonien avec toutes ses ramifications et, au final, le mystère de l’iniquité.

La malédiction d’Adam et Eve et celle de nos ancêtres sont toujours d’actualité  ! Elles ne sont brisées que par l’œuvre puissante de la croix  : confession, repentance et purification par le sang de Jésus  !

La fin des temps montrera que cette semence diabolique d’Eden faisant d’Eve une prostituée dans la Maison de son père, donc maudite et condamnée à  la honte et à  la mort, nous le prouvera. Seul, le sang de Christ nous rachète de cette malédiction.

Le prophète Daniel annonce  :

 »  Ceux qui auront été intelligents brilleront comme la splendeur du ciel, et ceux qui auront enseigné la justice, à  la multitude brilleront comme les étoiles, à  toujours et à  perpétuité  « . Daniel 12.13

Babylone a disparu. Toutefois, son esprit n’a pas disparu. Si les tours du 11 septembre sont tombées en Amérique, des tours comme par miracle jaillissent d’une terre aride, tels des champignons, se moquant effrontément d’une nature désertique et hostile qui ne fait plus reculer les grands hommes des émirats arabes.

Ils sont devenus les bâtisseurs des plus hauts gratte-ciels du monde. Des gratte-ciels qui défient chaque jour la hauteur de la tour de Babel.

Cette semence est donc toujours active dans les fils de la rébellion et donnera naissance au nouvel ordre mondial et à  l’église universelle apostate.

En conséquence, la plupart des coutumes de la chrétienté notamment dans l’Eglise catholique tirent leur origine directement de Babylone : culte de la vierge qui est en réalité Isis (vierge noire), Astarté ou Vénus, le sapin, la bûche de Noel, les œufs de pâques…

Ces traditions ont gardé une grande influence sur nous et nos contemporains et sur toutes les pratiques religieuses même notre culture.

Les dieux de la mythologie grecque ou latine sont bien présents dans notre vie quotidienne  :

Ajax : détergent ammoniaqué, était dans l’Iliade un grand guerrier grec de la guerre de Troie,

Athena : marque de slips,

Cérès : grande entreprise de restauration collective : le nom latin de la déesse Déméter, déesse nourricière présidant à  l’agriculture – Le mot « céréale » vient du nom latin de cette déesse du blé et de l’agriculture

Clio : un des modèles de voitures de Renault, tire son nom de la muse de l’Histoire

Hermès: grande marque de la haute couture française tire son nom du dieu des voyageurs, des marchands et des voleurs

Mars: dieu de la guerre : les barres chocolatées

La Pléiade, société d’édition des grands classiques littéraires : nom donné aux sept filles du géant Atlas et de Pléioné

Une « chimère » est un fantasme ; dans la mytholgie, elle était un monstre enfanté par le dieu Typhon.

« Furie », du nom latin des Erinnyes, esprits vengeurs des Grecs, désigne désormais une femme très, très en colère. Un de ces Furies s’appelait d’ailleurs Mégère…

Une « harpie » désigne à  peu près la même chose, mais en pire ; les Harpyes grecques étaient des oiseaux monstrueux vivant près du lac Stymphale

Le verbe « hypnotise » a été tiré du nom du dieu grec Hypnos, dieu du Sommeil

« Hygiène » vient du nom de la déesse grecque Hygée, fille d’Asclépios, le dieu des médecins.

Le mot « léthargie » est tiré du nom du fleuve grec Léthé, qui donnait l’oubli à  ceux qui s’y baignaient.

Le verbe « méduser » signifiant « stupéfier, choquer », provient de la Gorgone Méduse, qui changeait en pierre ceux qui la regardaient dans les yeux

Une « minerve », du nom latin d’Athéna, désigne aujourd’hui une attelle enserrant le cou. Le mot « musée » a été forgé à  partir du nom des Muses, personnifications des arts

Le mot « nymphomane » est inspiré des nymphes qui se baignaient souvent en petite tenue dans les sources

Le Pactole était un fleuve grec dans lequel se plongea Midas pour se libérer du sort qui lui faisait transformer ce qu’il touchait en or

Le mot « panique » est issu du nom du dieu grec Pan, dieu-animal assez laid qui semait la zizanie et la frayeur chez les nymphes

Le mot « priapisme » vient du nom de Priape, affligé d’une érection constante ; c’est aujourd’hui le nom d’une maladie développant les même symptômes

Psyché était une fort belle jeune fille aimée par le dieu Cupidon ; c’est à  présent le nom d’un grand miroir ovale qui pivote sur son axe

Satyre, personnage qui suivait le dieu Pan et prenait plaisir à  poursuivre les nymphes, est devenu un nom désignant un obsédé sexuel

Héros proverbial cité par Homère dans L’Iliade,

Stentor possédait une voix extraordinairement puissante. Une « voix de stentor » signifie une voix retentissante

Le mot « hybride » vient de la notion grecque « hybris », que l’on peut traduire par « démesure ». Elle désignait la volonté et l’orgueil des hommes qui voulaient défier les dieux en les égalant ; Oedipe et Prométhée en sont de tragiques exemples.

Et bien d’autres encore… Narcissisme, éolienne, volcan, mentor, phaéton, saturnisme, triton, typhon, vénérien, pygmalion, sibyllin…

Puis un des sept anges qui tenaient les sept coupes vint, et il m’adressa la parole, en disant: Viens, je te montrerai le jugement de la grande prostituée qui est assise sur les grandes eaux. C’est avec elle que les rois de la terre se sont livrés à  l’impudicité, et c’est du vin de son impudicité que les habitants de la terre se sont enivrés. Il me transporta en esprit dans un désert. Et je vis une femme assise sur une bête écarlate, pleine de noms de blasphème, ayant sept têtes et dix cornes. Cette femme était vêtue de pourpre et d’écarlate, et parée d’or, de pierres précieuses et de perles. Elle tenait dans sa main une coupe d’or, remplie d’abominations et des impuretés de sa prostitution. Sur son front était écrit un nom, un mystère: Babylone la grande, la mère des impudiques et des abominations de la terre. Et je vis cette femme ivre du sang des saints et du sang des témoins de Jésus. Et, en la voyant, je fus saisi d’un grand étonnement. Et l’ange me dit: Pourquoi t’étonnes-tu? Je te dirai le mystère de la femme et de la bête qui la porte, qui a les sept têtes et les dix cornes. La bête que tu as vue était, et elle n’est plus. Elle doit monter de l’abîme, et aller à  la perdition. Et les habitants de la terre, ceux dont le nom n’a pas été écrit dès la fondation du monde dans le livre de vie, s’étonneront en voyant la bête, parce qu’elle était, et qu’elle n’est plus, et qu’elle reparaîtra. – C’est ici l’intelligence qui a de la sagesse. -Les sept têtes sont sept montagnes, sur lesquelles la femme est assise. Apocalypse 17.5

La femme assise sur les 7 montagnes ou les 7 collines dont parle l’apôtre Jean et portant gravée sur le front : Le Mystère, Babylone la grande, «   la mère des impudiques et des abominations de la terre   » n’est rien d’autre que l’église romaine, la femme de satan régnant sur les rois de la terre ou la déesse mère (Apo 17.18).

Rome est considérée comme la merveille du monde renfermant dans son enceinte 7 collines.

L’église catholique ou Babylone la grande est, comme vous le savez déjà , dans le monde le siège principal de l’idolâtrie. Les cathédrales sont blindées de statues et de monuments aux morts.

En réalité, les racines occultes de la religion catholique sont babyloniennes. En France, par exemple, la plupart des cathédrales ont été élevées sur des lieux de cultes consacrées aux divinités de l’Ancienne Babylone, celles dont justement parle l’Ancien Testament.

Ses monuments se dressent sur des sites déjà  consacrés par la présence d’une statue de Madone, le plus souvent noire et généralement pré chré- tienne (vierge noire).

Ces vierges noires très répandues dans l’Anti- quité et dans les égli- ses ont été remplacées au fil des ans par des vierges blanches.

Plusieurs historiens, quoique démentis, ont d’ailleurs développé des thèses qui tentent de prouver que la ville de Paris aurait été fondée en l’honneur d’Isis, la vierge noire.

A la veille de la Révolution française, le culte d’Isis et d’Horus remontant à  la plus haute antiquité va ressurgir dans les rituels de la  » franc-maçonnerie égyptienne « . Certains pensent même que les franc-maçons sont les instigateurs de la Révolution afin de mettre en place un nouvel ordre des choses en France.

Ainsi, les Parisiens protégés par Isis, symbole de la régénération, surmonteraient et triompheraient de tous les obstacles dont l’effondrement du régime monarchique.

La franc-maçonnerie traditionnelle reprend officiellement Isis comme déesse protectrice en 1802. L’une des loges de la franc-maçonnerie s’appelle d’ailleurs les  »  enfants d’Isis  « .

Il faut savoir également que, pour les francs-maçons, Osiris et Isis ont une signification particulière comme le dit Françoise Dunand :

 » Le grand maître anglais George Smith (1783) voit dans le mythe égyptien la source d’inspiration des  » mystères  » de la maçonnerie :  » Osiris et Isis représentent théologiquement l’Etre suprême et l’universelle nature, et physiquement les deux grands luminaires, le soleil et la lune, dont l’influence s’étend à  toute la nature. « .

Selon la légende, Isis (ses symboles sont le croissant de lune, ou l’Etoile du Matin, Etoile des Batailles, et l’Etoile du soir (Etoile des Passions Amoureuses) aurait ressuscité Osiris, qui avait été assassiné suite à  un complot organisé par son frère, Seth.

En 1705, l’urbaniste français De Lamare dressa le plan de la ville de Paris et y mentionna des temples d’Isis en lieu et place de l’abbaye de Saint Germain des prés et de la cathédrale de Notre Dame.

Ce fait fut encore confirmé par le père J. du Breul qui, dans son ouvrage « Théâtres des antiquités de Paris » publié en 1639, dit ceci :

 »  Au lieu où le roi Childebert fit construire à  l’église de St Vincent, à  présent dite de St Germain des Prés et à  laquelle il donna son fief d’Issy, la commune opinion est qu’il y avait un temple d’Isis, femme d’Osiris  « .

Les grandes cathédrales gothiques étaient des temples dédiés à  cette déesse. Entre 1170 et 1270, pas moins de 80 cathédrales dédiées à  Notre-Dame et 500 églises furent édifiées à  sa gloire.

Un autre exemple. Répertoriée comme l’une des 7 merveilles du Dauphiné, la Tour-sans-Venin domine la ville, au pied du hameau de Pariset. Le pan de muraille qui subsiste encore, aujourd’hui, serait un vestige du donjon de l’ancien château fort de Pariset. Cette véritable forteresse militaire existait déjà  au XI ème siècle.

Au pied de l’ancienne tour, se tient une petite chapelle romane datée du 13ème siècle aux toitures couvertes de tuiles aux charmes quasi méditerranéens. En 1656, près de la chapelle, sera déterrée une pierre portant une inscription romaine.  »  Isidi matri Sex Claudius Valerianus Aram cum ornamentis Ut voverat  « . Traduction  »  A Isis mère, Sextius Claudius Valerianus a dédié cet autel avec ses ornements …  « .  

Selon une légende, bien avant le moyen âge, proche de cet endroit, les paysans du Vercors tentaient de cultiver cette terre peu fertile. Mais le travail était très difficile et la récolte maigre, sur les contreforts de ce massif.   Pour implorer les dieux, le responsable du village fit construire une stèle en l’honneur d’ISIS. Déesse bien connue de fécondité qui avait le don de ressusciter les morts dans certains pays et dans d’autres contrées, elle était l’image de la TERRE-MERE (donc fertilité).

La terre fut un peu plus fertile et vers le 13ème siècle, un seigneur s’établit en ce lieu prospère et ‘sacré’. Un château fut construit, et il devint au 19ème siècle l’une des 7 merveilles du Dauphiné.

(Temple de Philae)

Le temple de Philae, perle de l’Egypte était dédiée au culte d’Isis adorée aussi à  Rome (mère universelle et enchanteresse qui régnait sur la vie, la mort et la résurrection).

La construction du Temple de Philae fut commencée par Nectanebo Ier (380-362 avant JC). Il fut ensuite agrandi par les Ptolémées et les romains. Il fut l’un des sanctuaires les plus importants d’Egypte et de Nubie jusqu’en 550 lorsque l’empereur byzantin Justinien ordonna sa fermeture.

Les chrétiens transforment alors le temple en églises qui seront actives jusqu’au XIIIe siècle. Lorsque l’île fut convertie à  l’islam, une mosquée fut bâtie. Elle est donc aussi la mère de toutes les religions.

La pierre noire faisant référence, à  mon avis, à  la vierge noire. N’est-elle pas le cœur de l’islam, son fondement  ?

Pour corroborer ce fait, les musulmans disent que la pierre noire, trouvée selon le Coran par Ismaël, serait la pierre d’angle du premier temple de l’Univers, la kaaba (sanctuaire polythéiste muni de 360 statues d’idoles).

La Kaaba était pour les anciens arabes païens un sanctuaire inviolable, un asile pour les criminels et un rendez-vous commercial important.

Ce temple ne vous rappelle t-il pas la Babylone idolâtre de l’Apocalypse  :

 »   Il cria d’une voix forte, disant: Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande! Elle est devenue une habitation de démons, un repaire de tout esprit impur, un repaire de tout oiseau impur et odieux et que les rois de la terre se sont livrés avec elle à  l’impudicité, et que les marchands de la terre se sont enrichis par la puissance de son luxe  «  Apo 18.2

Les 360 idoles dont le sanctuaire avait été peuplé à  l’époque furent détruites en janvier 630 par les musulmans. D’après la tradition, Mahomet, lorsqu’il investit la Kaaba, ordonna la destruction de toutes ces idoles, sauf une : une icône mariale qu’il protégea de ses mains. Maryam, mère du prophète Jésus, Isâ (Issa), est donc vénérée partout par les musulmans.

En réalité, ce n’est pas Marie la servante de Dieu, ce n’est pas le même Jésus, mais c’est Isis et Horus qui sont adorés. Mahomet a fondé sa religion sur cette pierre noire. Cette pierre noire représente, à  mon avis, Agar l’égyptienne descendante de Cush, de Nimrod. Elle n’eut qu’un fils Ismaël qui pourrait être considéré comme Horus, fils d’Isis, la vierge noire égyptienne.

(Représenttion symbolique de Hubal, le dieu-lune)

En effet, avant l’islam, on adorait à  La Mecque le dieu Hubal. Son idole, faite de cornaline rouge était dressée dans la Kaaba au-dessus d’un puits sec dans lequel on jetait les offrandes votives. Ce puits nous rappelle la mésaventure d’Agar et d’Ismaël chassés dans le désert par Abraham. Elle trouvera un puits dans le désert grâce à  Dieu qui lui ouvrit les yeux. (Genèse 21.19)

L’idole d’Hubal était placée à  côté de la Pierre Noire ce qui laisse supposer qu’il devait exister un lien entre elles  : la mère et le fils. Wellhausen pensait qu’Hubal était à  l’origine la Pierre Noire qui, comme nous l’avons déjà  remarqué, est plus ancienne que l’idole. Il notait que dans le Coran, Dieu est appelé Seigneur de la Kaaba et Seigneur de la région de La Mecque.

De tout cela finit par conclure qu’Hubal n’est rien d’autre qu’Allah, le dieu des Mecquois. D’ailleurs, quand les Mecquois battirent le Prophète à  proximité de Médine, leur chef se serait écrié

 »  Hurrah pour Hubal  « .

Les pratiques animistes préislamiques sont encore vivaces. Les musulmans de Java continuent à  vénérer des arbres fétiches et des représentations à  figure humaine selon la mode hindouiste.

En Inde, des musulmans honorent aussi les vaches sacrées et divers autres animaux, comme les Hindous. L’islam a, par ailleurs, assimilé de nombreux mythes païens : le culte antique du tonnerre et des éclairs se retrouve dans la légende chiite d’Ali, le mythe solaire gréco-romain se retrouve dans la légende d’Hossein, fils d’Ali, etc…

Les sept tours autour de la Kaaba évoquent les 7 collines de Rome mais aussi la déesse de la fortification qui n’est autre que celle qui jeta les fondements de Babylone, la déesse-mère Sémiramis (femme de Nimrod, fils de Cham, de Cush), alias Cybèle, alis Rhéa, alias Isis, alias Vénus, alias la diane d’Ephèse.

Elle était également la déesse de la fertilité et de l’amour, image de la TERRE-MERE capable de redonner la vie à  la terre, de repeupler un désert en Arabie saoudite.

(Al Uzza)

Il ne fait aucun doute que les arabes adoraient ou adorent encore cette divinité. Vénus était une grande déesse que l’on révérait sous le nom d’al Uzza.

La déesse Isis est vénérée sous les noms d’Astarté, Aphrodite, Ishtar ou Vénus.

Elle représente aussi Sémiramis, femme de Nimrod, fils de Cham, fils de Cush..

Jean était bien étonné en voyant Babylone la Grande ! Apocalypse veut dire  » Révélation « .

La période du temps de la fin sera une riche période de Révélation prophétique, de lumière divine. Parce que le jugement de Dieu arrive, l’Église apostate va se démarquer et va être de plus en plus révélée, au grand jour, aux yeux de tous et des Enfants de Dieu :

Sortez du milieu d’elle, mon peuple !

Lot sortit, et parla à  ses gendres qui avaient pris ses filles: Levez-vous, dit-il, sortez de ce lieu; car l’Éternel va détruire la ville. (Genèse 19.14)

Quel rapport y a-t-il entre le temple de Dieu et les idoles? Car nous sommes le temple du Dieu vivant, comme Dieu l’a dit: J’habiterai et je marcherai au milieu d’eux; je serai leur Dieu, et ils seront mon peuple. C’est pourquoi, Sortez du milieu d’eux, Et séparez-vous, dit le Seigneur; Ne touchez pas à  ce qui est impur, Et je vous accueillerai. Je serai pour vous un père, Et vous serez pour moi des fils et des filles, Dit le Seigneur tout puissant. (2 Co 6.16)

Et j’entendis du ciel une autre voix qui disait: Sortez du milieu d’elle, mon peuple, afin que vous ne participiez point à  ses péchés, et que vous n’ayez point de part à  ses fléaux. Car ses péchés se sont accumulés jusqu’au ciel, et Dieu s’est souvenu de ses iniquités (Apo 18.4)

La Parole de Dieu, démontre de plus en plus clairement que Rome est la Babylone de l’Apocalypse; que son système pyramidal, pharaonique, ses cultes, ses fêtes, sa doctrine et ses cérémonies, sa prêtrise et ses ordres sont tous dérivés de l’antique Babylone.

(représentation d’Astarté, Isis, Reine du ciel)

Le pape est en réalité le fils (spirituel) d’Isis (reine du ciel)

ou Tammuz qui ressus- cite à  chaque nouvelle nomination.

Le culte d’Isis est le chemin initiatique qui mène à  la porte des dieux ou d’Ishtar conduisant à  la connaissance occulte, à  la révélation de ses mystères d’où le mystère de l’iniquité.

Elle dit à  celui qui est dépourvu de sens:

 »  Les eaux déro- bées sont douces, et le pain du mystère est agré- able ! Et il ne sait pas que là  sont les morts, et que ses invités sont dans les vallées du séjour des morts  «  (Proverbes 9.17)

Mystère parce que la femme doit être connue par l’homme dans le mariage terrestre, l’alliance sainte bénie par Dieu. Elle est le temple de la gloire de l’homme. Elle représente le mystère caché de l’homme.

Satan a exploité ce caractère de la femme vis-à -vis de l’homme pour égarer l’humanité entière.

Isis ou Ishtar ou astarté est la mère des dieux. Ceci nous évoque la promesse du serpent dans la Genèse « 

vous serez comme des dieux « .

La déesse-mère donne donc naissance par la voie initiatique à  des dieux, une forme d’élite, une royauté appelée à  gouverner le monde : race maudite de sacrificateurs de satan qui réclame le sang des innocents et des justes  :

 »  Et je vis cette femme ivre du sang des saints et du sang des témoins de Jésus  « 

Nous en concluons que les dieux adorés dans les différentes mythologies païennes (Egypte, phénicienne, romaine, grecque, hindoue…) tirent leur source de ces dieux adorés dans l’antique Babylone et qui sont donc toujours d’actualité. Ces dominations et démons se présentent et resurgissent sous plusieurs formes, pour être adorés selon les races et les cultures dans le monde entier, mais ils gardent la même influence, le même impact sur la vie des humains aveuglés par satan.

La Babylone du Nouveau Testament, nous ramène à  la Babylone antique. Voici comment le Seigneur parlait de cette Babylone par la bouche du prophète Jérémie:

 »  Babylone a été dans la main de l’Éternel une coupe d’or enivrant toute la terre; les nations ont bu de son vin, c’est pourquoi les nations ont été comme en délire.  « 

La femme dont parle l’Apocalypse, la Babylone tient aussi à  la main une coupe pour enivrer les nations. L’Ancien Testament est l’ombre des choses à  venir. La Babylone de l’Apocalypse est la vraie réalité.

Elle est dévoilée, démasquée, mise en lumière.