» Car il n’y a rien de caché qui ne doive être découvert, ni rien de secret qui ne doive être connu  » (Mat 10 :26)

1789, 1968, 2010 ? Pourquoi et comment la France bat-elle en retraite(s) ?

RÉVOLUTION, SOULÈVEMENT, CONTESTATION, RÉBELLION… Ces mots ne nous disent-ils rien ?

Chaque révolution, chaque guerre, chaque évènement grave dans nos nations a eu son point de départ, ou plutôt son prétexte de départ. On pourra invoquer la crise économique, l’immigration, le terrorisme, en un mot, tout ce qui fait peur, pour justifier le recours à  de nouvelles lois qui finiront par engendrer la révolte puis la répression. Ce vieil adage attribué à  César  » Si vis pacem para bellum  » a encore de beaux jours devant lui, particulièrement à  cette époque où tout est en train inexorablement de basculer dans un irrémédiable chaos très rapidement incontrôlable.

Le mot d’ordre est désormais lancé : il faut frapper dur et empêcher tout débat qui risquerait de remettre en cause le pouvoir en place ; cela s’appelle TOTALITARISME. Il faut imposer et non plus proposer. Toute discussion est inutile, obéir et se soumettre, finis les atermoiements, les consensus, les compromis. Qu’il ait tort ou raison le peuple doit être maté… on a le gouvernement que l’on mérite. Pour une nation incontrôlable il faut un régime qui contrôle, lui-même contrôlé par des instances supérieures, elles-mêmes contrôlées…

La révolte de la paysannerie française a été le déclencheur de 1789 avec les ignobles conséquences que l’on sait; l’attentat de Sarajevo le 28 juin 1914 celui de la première guerre mondiale; l’incendie du Reichstag le 27 février 1933 donna l’occasion au chancelier Hitler d’engager sa sanglante épopée de conquêtes en Europe et d’assouvir sa haine envers le peuple juif et autre  » indésirables  » ; plus près de nous, le malaise étudiant et les revendications ouvrières chez Renault furent le détonateur de mai 68, les  » attentats  » du World Trade Center( qui ont fait pratiquement 4000 victimes) permirent à  G.W. Bush d’entreprendre, sous un prétexte fallacieux, une guerre sans merci contre l’Irak.

Aujourd’hui, c’est le (faux) problème des retraites qui est en train d’embraser la France, avec la complicité des syndicats et des  » plénipotentiaires  » de Bruxelles…

La démo(n) cratisation religieuse est la porte ouverte à  la dictature du Nouvel Ordre Mondial

Le 8 octobre dernier, Monsieur Sarkozy s’est rendu en visite au Vatican où il a brièvement rencontré le pape Benoît XVI :

 » Entre le pape et le président, le premier échange fut plus qu’aimable, insistant de part et d’autre sur la réussite du voyage de Benoît XVI en France en septembre 2008, ce dernier évoquant l’âme catholique de la France. Puis, l’entretien à  huis clos a porté, semble-t-il, essentiellement sur les sujets de politique internationale : G20, processus de paix au Moyen-Orient et situation des chrétiens dans cette région, sans oublier, selon le communiqué officiel,  » la dimension éthique et sociale des problématiques économiques « .

Dans la chapelle Sainte-Pétronille, protectrice ( !) de la France, le cardinal français Jean-Louis Tauran, président du conseil pontifical pour le dialogue inter-religieux, a lu une méditation aux termes précis :  » En pensant à  aujourd’hui et à  demain, nous demandons à  Dieu, pour le peuple de France et ses dirigeants, courage et persévérance afin que chacun à  sa place considère ce qu’il peut accomplir, seul et avec d’autres, au service de son prochain : pour le respect absolu de la vie, la justice, l’emploi, l’éducation, la santé, l’environnement, la sécurité, l’accueil des persécutés et des immigrés, la vérité de l’information, la paix chez eux et dans le monde. « 

En écho, une heure plus tard, lors du déjeuner à  la villa Bonaparte, ambassade de France près le Saint-Siège, Nicolas Sarkozy lui répondait :  » lutter contre l’immigration illégale qui produit tant de détresses et de drames, qui prive les pays les plus pauvres de leurs forces vives, c’est un impératif moral.  » Parmi les autres impératifs moraux, le président a cité la régulation de la finance, du commerce et de l’internet, sans oublier la stabilisation des marchés de matières premières.

Le président retiendra probablement les tous derniers mots que Benoît XVI lui a adressés, le raccompagnant sur le seuil de sa bibliothèque :  » Merci pour tout ce que vous faites pour la France et pour la chrétienté. «  (Frédéric Mounier-La Croix.com 10/10/2010)

Si les circonstances n’étaient pas aussi sérieuses, on aurait envie de rire en lisant ce genre de déclaration…heureusement que les chrétiens n’ont pas besoin de M. Sarkozy pour subsister, s’agissant des vrais, ceux qui croient et obéissent à  la Parole de Dieu. Une fois de plus l’amalgame est fait entre catholicisme et christianisme, c’est devenu une véritable obsession pour Rome de vouloir ainsi englober tous les croyants sous sa bannière séculaire (c’est cela la mondialisation religieuse). Quand un cardinal français ose parler de respect de la vie, on a honte en pensant aux milliers d’avortements pratiqués chaque année rien qu’en France-227000 en 2007-peut-on alors, sans hypocrisie, remercier un chef d’état pour  » tout ce qu’il fait pour son pays et pour la chrétienté  » ?

Les gens s’inquiètent à  juste titre pour leur avenir, leurs retraites, leurs droits, l’économie…mais ne se soucient pas trop du démantèlement de l’état moral et de la disparition des valeurs fondamentales de la société, les familles éclatées, l’envahissement de la pornographie, l’argent facile, la légalisation des unions homosexuelles… Mais après tout c’est à  la mode, il faut bien  » évoluer avec son temps  » !

C’est cela la démocratie : faire croire au peuple qu’il gouverne pour ensuite mieux le mener à  l’abattoir en lui ôtant petit à  petit son autonomie, sa capacité de jugement, lui faire accepter sournoisement et graduellement l’inacceptable et saper, avec son assentiment, sa liberté de penser et d’agir pour son propre bien et celui d’autrui.

Seul compte tout ce qui peut mettre en péril l’avenir matériel et le confort de tout un chacun, et pour cela on est prêt à  organiser le désordre dans le pays et à  faire crier au scandale sur tous les tons.

C’est ce même système pernicieux de démocratisation qui s’installe dans l’Église, qu’elle soit de Rome ou non, d’ailleurs. Le venin de l’apostasie frappe aussi, dans nos assemblées évangéliques, non seulement par le truchement des fausses doctrines, mais aussi par la dégradation des mœurs, que ce soit au niveau des fidèles, qu’à  celui des responsables, prêtres, pasteurs ou autres, malheureusement.

C’est une technique employée par Satan, grâce à  l’active complicité de ses agents illuminatis et francs-maçons qui se sont infiltrés, pour dévoyer l’Église et lui faire perdre de vue le salut, tandis que l’heure de l’enlèvement approche à  grands pas…

l’Église est devenue le lieu où l’on se donne une bonne conscience à  peu de frais quitte à  écouter n’importe quel boniment religieux aux apparences vaguement moralisatrices.

Le totalitarisme politico-économique précède et accompagne le totalitarisme religieux (la Bête et le faux prophète). L’Église depuis des siècles ne joue plus son rôle de garde-fou pour la société, elle a perdu tout sens moral pour se prostituer au monde qu’elle était censé éclairer. Elle mêle à  son sang déjà  impur par les hérésies et les crimes dont elle s’est rendue coupable, des religions impies et totalement païennes telles que l’islam, pour laquelle le Vatican n’a de cesse de réclamer la tolérance et le respect au nom d’une soi-disant «  liberté religieuse. « 

 » Il est urgent de mettre un terme aux menées agressives au sein de l’islam. Nous devons toujours demander le respect de la liberté religieuse pour tous les croyants. «  (Propos du cardinal Sodano, ancien secrétaire d’État au Vatican-relaté dans La Croix.com du 12/10/2010).

A cela nous répondons :

 » Parce que tout ce qui est né de Dieu triomphe du monde, et voici la victoire qui triomphe du monde : notre foi. «  (1Jn 5 :4)

 » Mais quand le Fils de l’homme viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre ? «  (Lc 18 :8)


En marche pour les unions illégitimes : le spectre de la globalisation


La  » règle d’or  » du Nouvel Ordre Mondial est :  » Soumettez-vous ou nous détruirons votre économie « . Actuellement, existent conjointement l’ALENA (NAFTA), accord de libre-échange mis en place en 1994 entre l’Amérique du Nord, le Canada et le Mexique, l’union Pacifique-Asiatique, la Communauté Économique Eurasiatique (CEEA) créée en 2000 réunissant plusieurs pays de l’ancien bloc soviétique, l’Union des nations sud-américaines (UNASUR) créée en mai 2008, l’Union africaine (UA) créée en 2002 à  Durban en Afrique du sud, et le Nouveau Partenariat pour le Développement de l’Afrique (NEPAD). D’ici 2015 naîtra le bloc Euro-Atlantique que maints politiciens et économistes tant européens qu’outre-atlantistes appellent de tous leurs vœux, qui sera la tête de pont des échanges entre les marchés européen et américain avec la bénédiction de l’Angleterre comme soutien financier. Il s’agira d’un grand marché transatlantique dérégulé sans droits de douane et sans barrières à  la circulation des capitaux et des marchandises, voté par le Parlement européen, dans la plus grande discrétion en 2009. Le but final étant de former un grand ensemble économique et social avec les États-Unis… une Europe américaine en quelque sorte. C’est la Fondation Bertelsmann(1) qui est le grand pourvoyeur de fonds pour cette opération d’envergure, comme elle l’a déjà  été d’ailleurs pour la construction européenne.

Toute nation qui refusera donc de se soumettre verra immanquablement son économie affaiblie voire réduite à  néant jusqu’à  ce qu’elle accepte, de gré ou de force, les contraintes du gouvernement mondial.

Nous avons vu ce qu’il en fut pour la Grèce, dont le sursis n’est dû qu’au fait qu’elle ait cédé la majeure partie de ses infrastructures économiques à  la Chine, devenue en quelques décennies une des plus grandes puissances économique mondiale, inondant les marchés de ses produits  » bon marché  » et dont il faut craindre l’hégémonie grandissante. C’est ce qui est aussi en train d’arriver à  la France, mais ce n’est que le commencement des douleurs. Les grèves et autres manifestations de mécontentement préludent sans doute à  des évènements plus graves encore, préparés dans l’ombre par l’élite illuminati dans l’espoir de porter un coup fatal à  la vie économique et sociale de notre nation dont les destinées, à  l’instar des autres nations est désormais aux mains de l’oligarchie par le truchement de nos parlementaires.

De l’idolâtrie qui gouverne ce monde et l’Europe en particulier

La culture et la civilisation européenne ont été fondées sur les traditions et la mythologie égypto-gréco-romaine, grande pourvoyeuse de dieux et d’interminables fables qui sont une manne pour les manuels d’histoire de nos écoles et de nos universités. C’est aussi le terreau fertile sur lequel se sont bâties la plupart des sociétés secrètes qui gouvernent ce monde, en particulier la Franc-maçonnerie. Oui, ces sociétés gouvernent en lieu et place des gouvernements officiels puisque la plupart des hommes et femmes d’influence dans ce monde régit par l’argent, appartiennent à  des loges maçonniques, faut-il encore le rappeler…et travaillent de près ou de loin dans les gouvernements, les grandes banques et sociétés  » haut de gamme  » qui ont pour dieu Mammon.

STATUE DU DIEU JANUS (musée du Vatican)

Le dieu Janus figure parmi les plus grands et les plus anciens dieux du Panthéon romain. Des historiens disent même qu’il serait supérieur à  Jupiter le dieu suprême. Il est représenté avec un double visage orienté en sens opposé qui donne lieu à  diverses interprétations : don de la  » double- science « , connaissance à  la fois du passé et de l’avenir, androgynie (d’où l’analogie faite avec la création de l’homme dans la Bible en tant qu’Ish et Isha). Le poète grec Ovide a raconté que Janus s’appelait Chaos à  l’époque où l’air, le feu, l’eau et la terre ne formaient qu’une masse. Quand les éléments se séparèrent, Chaos prit alors sa forme de Janus, ses deux visages représentant la confusion de son premier état. D’autres légendes ont fait de ce dieu le roi de l’âge d’or du Latium (2). Il y aurait accueilli Saturne chassé du ciel par Jupiter-Zeus (Satan chassé du ciel par Dieu pour sa rébellion), à  qui il donna, outre son hospitalité, les terres du Capitole ( » Je te donnerai toute cette puissance, et la gloire de ces royaumes ; car elle m’a été donnée et je la donne à  qui je veux- Mc 4 :5).

Janus est un dieu solaire(3), dont le culte fut toujours extrêmement populaire chez les Romains, il était considéré comme le dieu des commencements et fut placé à  la tête de toutes les entreprises humaines. Les Romains lui attribuèrent un rôle essentiel dans la création du monde, et il passa désormais pour le dieu des dieux Janus Pater.

Dès lors, la mythologie et le paganisme ont apporté la confusion en se parant des attributs de la religion. De cette union illicite et contre nature est né un monstre abominable qui se nomme Å’cuménisme religieux dont le berceau se trouve à  Rome et auquel tous les rois de la terre, présidents et sommités viennent rendre hommage et apporter leurs présents, tout comme les mages venaient jadis adorer le vrai Roi des Rois à  Bethléem.

 » Car le mystère de l’iniquité agit déjà  ; il faut seulement que celui qui le retient encore ait disparu. Et alors paraîtra l’impie, que le Seigneur Jésus détruira par le souffle de sa bouche, et qu’il anéantira par l’éclat de son avènement. «  (2Thess 2 :7-8)

Soyez bénis





(1) Empire médiatique et de l’édition allemand fort d’un chiffre d’affaires dépassant les 18 milliards d’euros, Bertelsmann est aussi une puissante Fondation qui agit dans trois domaines : la construction européenne, le renforcement du partenariat transatlantique et l’élaboration d’une politique au Proche-orient subdivisée en deux parties – Israël et le monde musulman. Elle a joué un rôle décisif dans la relance du projet de constitution européenne après les non français et hollandais en 2005 et elle se démène pour réussir à  créer un bloc transatlantique unifié pour 2015.


(2) Ne pouvant plus diriger le ciel, Saturne cherchait la tranquillité. Il fut accueilli avec hospitalité en Italie par Janus, le roi des latins et le dieu des portes des enfers. En plus de son hospitalité, Janus proposa à  Saturne de s’associer tous les deux sur le trône. Janus et Saturne s’entendaient merveilleusement bien, il n’y avait jamais de querelles. Ils ne travaillaient jamais car la terre était toujours féconde. C’était l’Age d’or. En souvenir d’une pareille époque, on fêtait les Saturnales, où pendant trois jours tous étaient égaux, il n’y avait ni maître, ni esclave. C’est ce  » fameux  » ge d’Or, ou Ère du Verseau tant attendu par les adeptes du New- ge, parangon de la fausse spiritualité des derniers temps.


(3) Horus, est le dieu du soleil égyptien et la représentation de toute la symbolique illuminati luciférienne et maçonnique. Il est l’œil placé au sommet de la pyramide, qui  » voit tout et contrôle tout  » (consulter à  ce propos tous les articles consacrés à  ce thème des illuminatis sur ce blog), tandis qu’Allah est le dieu-lune adoré dans l’islam.