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Bacca laurea :  »  La couronne du laurier   » aux bacheliers et la palme de la disgrâce à  l’islamo-gauchisme.

Tandis qu’il y a quelques jours, nos candidats bacheliers versaient des larmes de joie ou de peine dans toutes les cours des Lycées de France à  la proclamation des résultats 2016, à  la demande de la ministre de l’Éducation nationale franco-Marocaine Najat Vallaud-Belkacem, le Directeur du service interacadémique des examens et concours adressait une note de service à  l’ensemble des proviseurs engageant ces derniers à   »  s’assurer de la présence effective des candidats admis aux épreuves du rattrapage. Ceux invoquant une impossibilité de présence le 06 juillet en raison des célébrations de la fête religieuse de l’Aïd-el-Fitr devront être reconvoqués pour le lendemain. Vous voudrez bien indiquer le plus rapidement à  mes services le nombre de candidats concernés  « .

Autrement dit, le sanctuaire de l’école laïque était une nouvelle fois violé par l’Islam au nom de l’égalité des chances, comme dans les années 1980, le port du voile au sein de l’enceinte scolaire avait fait reculer la République. Au-delà  de l’indignation de ses nombreux collègues chefs d’établissement abasourdis par l’ubuesque requête, les propos de Philippe Tournier, Secrétaire général du syndicat des personnels d’encadrement de l’éducation nationale (SNPDEN) illustrent l’ampleur de la consternation :

 »  Ce genre de notes peut créer une belle pagaille, d’autant qu’elle contient beaucoup de non-dits. Faudra-t-il que l’on demande un à  un à  nos élèves s’ils font l’Aïd ? C’est inconcevable ! Et si tous les élèves nous disent oui parce qu’ils préfèrent avoir une journée de plus pour réviser, que fera-t-on ?  « .

Évidemment, du côté du gouvernement, on tente de se réfugier derrière des textes officiels permettant aux élèves de  »  solliciter une autorisation d’absence à  titre exceptionnel au motif de grandes célébrations religieuses  « .

Pourtant, est-ce le rôle de l’administration française d’anticiper ce genre d’absences ? Le taux des reports constaté servira-t-il à  la légitimation d’une intégration de certaines fêtes religieuses musulmanes dans le calendrier scolaire ? Nicolas Cadène, rapporteur général de l’Observatoire de la laïcité se défend d’un excès de zèle ou de quelque formule de complaisance communautaire.  »  Il n’y avait pas lieu pour la Maison des examens de proposer une éventuelle adaptation en amont. On n’assigne pas les élèves à  leurs pratiques religieuses  « .

Alors précisément, si l’on n’assigne pas les élèves à  leurs pratiques religieuses, on assigne d’autant moins la laïcité au sordide d’une compromission œuvrant à  la reconquête d’un électorat communautaire.

Chronique historique au cœur des non-dits

Serait-il temps de dire les vérités qui fâchent la bien-pensance gauchiste et ses récits nationaux fantasmés ? Nous le craignons. Commençons donc par convoquer l’histoire qui nous ramènera au phénomène de la vaste décolonisation opérée par les vieux empires coloniaux occidentaux ruinés par la Seconde Guerre mondiale. Dans les années 1950, si les indépendances successives ont créé des allégresses légitimes, ces événements se sont toutefois rapidement accompagnés d’une soudaine paupérisation de populations pour la plupart de confession musulmane, aboutissant à  une immigration massive de travailleurs sur le vieux continent dévasté.

Or, concentrée sur sa propre reconstruction et l’endiguement du communisme aux portes de Berlin, il faut admettre que pendant une longue période, l’Europe occidentale s’est montrée peu craintive envers cette vague migratoire constituant à  la fois l’aubaine d’une main-d’œuvre utile en même temps que l’occasion d’un brassage culturel enrichissant.

A fortiori, ce dernier a-t-il été particulièrement bien cultivé en France ; ancienne puissance coloniale qu’un sentiment de mauvaise conscience et de dette envers vis-à -vis de ses ex-colonisés a sans doute rendue exagérément tolérante. Cependant, le peuple français était convaincu d’une rassurante certitude : Une fois les grands travaux finis, ces gens-là  repartiraient chez eux. Certes, mais en France, les évidences sont  »  ces vessies que l’on fait prendre pour des lanternes  « . En 1978, après avoir accordé l’asile politique à  l’Ayatollah Khomeiny, chiite iranien qui plongerait son pays dans l’obscurantisme islamique (refusons l’hypocrisie du terme islamiste) l’année suivante, le monarque éclairé Valéry Giscard D’Estaing avait accordé sa faveur à  une mesure de regroupement familial totalement irresponsable, autorisant soudainement l’immigration musulmane de millions de femmes et d’enfants demeurés dans leurs pays respectifs d’origine jusqu’à  lors.

Autrement dit, d’une immigration de travail maîtrisée et tolérable, on avait abouti à  une immigration familiale absolument incontrôlable ouvrant la voie à  toutes les dérégulations et à  un électoralisme communautaire calamiteux.

C’est précisément le moment où la souveraineté avait été volée à  la Nation au nom d’un pseudo-humanisme dissimulant mal la somme d’intérêts économiques, financiers et diplomatiques avantageant les capitaux de l’Islam au détriment de la préservation de l’identité nationale. Or, si le pays avait été capable d’absorber des vagues migratoires judéo-chrétiennes en raison de valeurs communes héritées de la loi mosaïque, et si l’on avait accueilli avec succès les boat-people après la chute de Saïgon et l’invasion du sud Viêt Nam par le nord Viêt Nam communiste en avril 1975, la seule population qui poserait à  terme de réelles difficultés d’intégration à  la communauté nationale et aux principes de la laïcité serait la population musulmane.

Si l’on veut se donner la peine de visionner les témoignages recueillis par de nombreux sociologues en évitant la sélection rigoureuse œuvrant à  l’écriture d’un roman national fantasmé, les images et commentaires disponibles à  l’INA (Institut national de l’audiovisuel) objectivent des tensions entre communauté musulmane et non musulmane dès le début des années 1980 dont les conséquences mettraient en péril l’excellence et le bon fonctionnement du système éducatif français à  l’épreuve du temps. Année après année, tandis que les élèves habitaient les mêmes quartiers et que les milieux socioculturels des habitants étaient sensiblement équivalents, seule une proportion toujours plus nombreuse de la jeunesse musulmane s’était montrée particulièrement réfractaire au respect des traditions et du mode de vie occidental, tout en bénéficiant des nombreux avantages qu’il offrait.

À l’école, l’absentéisme des élèves musulmans était déjà  constaté, entraînant rapidement des échecs scolaires et l’accroissement d’actes de violence sur les enfants catholiques, juifs ou tout seulement non-musulmans. Pourtant, la hiérarchie recommandait au corps professoral de  »  ne surtout pas faire de vagues  « , allant même jusqu’à  brandir l’argument fallacieux du procès en racisme, puisque la France musulmane est composée de personnes de couleur noire et blanche.

Autrement dit, la porte était ouverte à  l’ère de la punition systématique des élèves non-musulmans. Il est pénible pour un professeur d’exprimer ce que des milliers de collègues ont pu confier. Toutefois, la vérité était la suivante :

L’école portait en son sein toute une jeunesse musulmane qui ne refusait pas seulement la culture occidentale, mais dont le projet était la destruction de ses racines historiques, de ses symboles et de ses représentants.

L’ère méditerranéenne ou le piège fatal (1981/1995)

Si en France, l’affaire de deux élèves musulmanes refusant d’ôter le voile dans l’enceinte scolaire défrayait la chronique, à  la même époque aux États-Unis, la récurrence et l’escalade de conflits raciaux opposant forces de police et bandes rivales aboutissait à  une campagne internationale contre le racisme, bientôt reprise par les plus grandes marques du moment. Chacun se souvient de l’affiche de  »  The United colours of Bennetton   » et de ses émules. Or, ce contexte était idéal pour un François Mitterrand soucieux de sa réélection. S’appuyant sur deux braves militants des jeunesses socialistes, l’actuel Secrétaire d’État chargé des affaires européennes Harlem Désir et Julien Dray ; ancien trotskiste juif devenu socialiste et visiteur du soir régulier de François Hollande, le stratège indépassable avait eu l’idée de créer un collectif associatif de lutte contre le racisme :

«   Touche pas à  mon pote   » rapidement mué en  »  SOS Racisme  « .

Les avantages d’un tel organe de propagande cumulaient à  la fois la séduction de l’électorat musulman, l’accroissement de sympathisants aux idées du Front National, affaiblissant d’autant le vote en faveur de la droite traditionnelle.

Cette stratégie cynique avait permis la brillante réélection de Mitterrand. Désormais, des myriades d’Intellectuels et stars gauchistes intéressées ouvriraient l’ère de la tyrannie de la bien-pensance défendant une identité culturelle française heureuse  »  blacks/blancs/Beurs   » mystifiée, tandis qu’à  la différence d’avec les États-Unis, le plus gros problème national n’était pas celui d’une couleur de peau mais celui d’un Islam refusant de se plier aux valeurs occidentales.

En d’autres termes, on avait somptueusement nié l’évidence qui affirme que l’Islam est un projet politique de domination anthropologique à  l’échelle humaine et dissimulé des incompatibilités rédhibitoires avec les principes démocratiques sous le terme générique de  »  racisme  « .

La pirouette politicienne était habile, mais peu convaincante. Toutefois, la politique de l’excuse et son cortège de sempiternelles circonstances atténuantes d’ordre socio-psychologique étaient là  pour durer et cautionner l’inadmissible et le déviant au nom d’intérêts électoralistes supérieurs. Dans les classes élémentaires, le sacro-saint héritage post-soixante-huitard de  »  l’enfant-roi   » allait trahir son ambition originelle.

La loi jospiniste de réorientation pour l’école (1988) allait essentiellement servir la diversité musulmane. Dans les classes élémentaires, où l’effectif atteint régulièrement jusqu’à  31 élèves en cycle 3, vouloir  »  placer l’enfant au cœur de ses apprentissages   » en se gargarisant de pédagogie différenciée, travaux par projets ou animations de groupes de besoins tournants signifierait en réalité une gestion de classe vampirisée par des élèves refusant d’étudier la Shoah, les textes d’auteurs français, l’histoire et la géographie nationales, oralisant parfois fièrement leur haine à  l’endroit de la patrie, du Juif et du Croisé. Dans un tel contexte déplorable au sein de l’enceinte républicaine, les professeurs comprendraient très vite le pouvoir électoral constitué par des parents d’élèves musulmans  »  hautement ménagés  « , lesquels se sentiraient autorisés à  l’exercice de pratiques indignes telles que les agressions verbales et/ou physiques, parfaitement naturelles au sein de l’Islam.

Tous les professeurs, directeurs des écoles, principaux des collèges et lycées de France ont leurs listes mentales respectives de ces chérubins perturbateurs. On ne trompe pas les vieux singes. Mais dans un pays où les statistiques confessionnelles sont opportunément interdites et où la sanction choisit de s’abattre sur l’obligé, la critique de la pratique pédagogique de l’enseignant et le musellement du corps d’encadrement obtenus par les gouvernements successifs encourageraient tous les dénis jusqu’au non-respect de la minute de silence commémorant la mémoire des sacrifiés du mois de janvier 2015, par ces mêmes publics scolaires.

En plus d’être parmi les plus diplômés des pays de l’OCDE, le corps professoral et d’encadrement français est l’un des moins rémunérés. Il sert d’exutoire à  une jeunesse déviante atterrissant régulièrement dans les commissariats et les cabinets des juges, en ressortant très vite pour narguer la police à  l’envie. Professeurs, policiers, juges se mutent et se sanctionnent au nom de l’islamisation de la France. Voilà  l’ahurissant paradoxe que la tyrannie de la bien-pensance et l’électoralisme musulman a pu produire de solennelle imbécillité. Voilà  comment dans ce pays, on abat la vocation enseignante, le respect de l’autorité des forces de l’ordre, un système judiciaire désargenté et la culture qui avait su éblouir le monde. Toutes corvéables à  merci, ces professions déconsidérées demeurent les dernières garantes d’une certaine image de la grandeur de la France. Toutefois, leur soumission au Politique représente l’écueil majeur d’une lutte efficace contre la menace du terrorisme islamique. Si l’école ne doit pas être le sanctuaire de la charité et du  »  vivre mal ensemble   » mais celui de l’instruction, si la police et la justice sont les archontes de l’ordre et du droit, alors la menace de la guerre civile dissimulant des calculs électoraux communautaristes ne peuvent constituer l’avenir de la Nation.

Le système éducatif français : Voyage au bout de l’enfer

Certaines estimations réalisées à  l’étranger évaluent le nombre de musulmans présents sur le sol français entre 12 et 15 millions. C’est également la première population carcérale. Pourtant, dans un contexte sécuritaire particulièrement préoccupant et devant le constat logique d’une impossibilité de  »  dé-radicaliser   » une communauté refusant la réforme inconditionnelle de son texte sacré, la ministre de l’Éducation nationale a cru opportun de prononcer l’arrêt de mort de l’école républicaine. Entrant en vigueur dès la rentrée 2016/2017, un enseignement commun du  »  vivre-mal ensemble   » pompeusement dénommé  »  Enseignements pratiques interdisciplinaires   » (EPI) montrera tout l’avantage qu’il y a à  étudier les civilisations de l’Islam au détriment du siècle des Lumières, à  faire boire la ciguë aux lettres classiques (latin et grec ancien) ou encore à  bénéficier d’un taux horaire réduit en mathématiques et en Français. En d’autres termes, des activités transversales (faisant interagir plusieurs disciplines) proposeront le merveilleux programme promettant d’effleurer certaines notions favorisant la kinesthésie et le tohu-bohu général, plutôt que l’étude approfondie de chaque champ disciplinaire avec rigueur et méthode. En un mot, le système éducatif de l’excellence doit être sacrifié sur l’autel de la médiocrité à  s’offrir en partage, au nom de la tyrannie d’une égalité des chances dissimulant mal le câlinage du vote communautaire musulman. En effet, cette mesure est la meilleure arme qu’un pouvoir pouvait offrir à  l’islamisation de la France.

 

Où l’Islam-t-il a déjà  gagné et où Hollande rejouera le scénario de son illustre maître ?

Après que Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy avaient eu pratiqué  »  le dégraissage du mammouth   » cher au ministre de l’EN Claude Allègre et que de jeunes professeurs impréparés au plan pédagogique s’étaient retrouvés précipitées dans des classes, dès son investiture, François Hollande a rouvert les IUFM, les renommant bientôt ESPE en les abandonnant à  des hordes de professeurs d’encadrement islamo-gauchistes chargés d’établir les curriculums.

Or, il y a deux mois, un sinistre projet filtrait discrètement des arcanes académiques. Il s’agit de préparer la future génération des professeurs en les intégrant au cursus professoral dès après le Bac. Autrement dit, la formation n’exigera plus la nécessité d’une spécificité de domaine équivalente à  l’obtention minimale d’une Licence (Bac +3/180 ECTS).

Pourtant, enseigne-t-on jamais mieux que ce que l’on domine pour l’avoir étudié en profondeur ? Au-delà  de ma conviction qui est celle d’enseignants spécialisés dès l’école élémentaire sur le mode de professeurs tournant de classes en classes en fonction d’un emploi établi et dont l’action serait renforcée par des collègues dédiés au soutien et/ou à  l’animation d’ateliers (modèle de fonctionnement de nombreux lycées français à  l’étranger), on voit ici tout le danger de la formule et la perversité du procédé. Car, en formatant ces futurs agents de l’État à  un niveau encore très général, n’est-ce pas la meilleure assurance de pouvoir imposer une vision unique à  l’ensemble d’une société à  terme ?

Par ailleurs, face au nombre croissant d’écoles islamiques non agrées par l’État et pullulant sur le territoire national à  la faveur d’une absence de réglementation contraignante subordonnant l’ouverture d’un établissement scolaire en France, la ministre de l’Éducation nationale évoque la nécessité soudaine de les faire visiter par des inspecteurs  »  maîtrisant la langue arabe  « . Si la prise de conscience tardive est heureuse, la porte est largement ouverte au recrutement de personnels musulmans dont on peut légitimement douter de la capacité à  produire des rapports objectifs. Quelles garanties aurons-nous de la non-intervention d’un pays musulman ayant financé ou finançant partiellement l’école ?

En outre, dans un contexte de migration musulmane massive et absolument dérégulée, la prochaine initiative sera-t-elle le recrutement d’enseignants parlant l’arabe au nom de l’argument affirmant une communication optimale avec le nouvel apprenant ? Brandira-t-on la promesse d’une meilleure intégration à  la communauté nationale ? Et que vaut la disposition de la ministre proposant l’apprentissage de l’Arabe à  tous, dès le cours préparatoire ?

Toutes ces mesures sont-elles un moyen détourné d’injecter un quota considérable de musulmans au sein du système éducatif ? Alors, précisera-t-on que la majorité des migrants parlent l’arabe classique, tandis que la communauté musulmane française maîtrise les seuls arabes dialectaux du Maghreb ? Ainsi que le signalait, à  raison, M. Tournier (SNPDEN),  »  il y a beaucoup de non-dits  « .

Récemment, des étudiants israéliens ou franco-israéliens dénonçaient une politique regrettable de favoritisme musulman quant aux notations des examens encouragée par des professeurs islamo-gauchistes, tandis que Manuel Valls invite régulièrement ce public à  venir étudier dans les universités françaises.

Dans les écoles élémentaires de la République, les élèves continuent de subir l’animosité de leurs pairs musulmans; conduites encore favorisées par le recrutement de personnel de surveillance de même confession. Pour la rentrée prochaine, les écoles privées ont reçu un nombre exponentiel de demandes d’inscriptions. Alors, la question est la suivante : Les français sont-ils prêts à  la conversion de l’école républicaine à  l’Islam ?

Une tragédie française que le monde a le droit de comprendre

Le déni de réalité est mort avec nos comiques géniaux nationaux. Depuis des décennies, au nom d’une politique diplomatique avec les monarchies et/ou républiques de l’Islam, un nombre déraisonnable d’équivalences de diplômes a été accordé par les gouvernements français successifs, au seul bénéfice des étudiants musulmans. Le résultat est calamiteux. Les universités françaises sont à  l’agonie. Les grandes écoles font de la mauvaise diplomatie. Il est impossible de mener un cours magistral sans étudiants assis sur le sol, les marches et même dans le couloir.

La France n’a plus les moyens de l’ambition de la gratuité de l’enseignement supérieur, et l’erreur serait de vouloir le privatiser pour y pratiquer du tourisme estudiantin, comme on pratique le tourisme médical avantageant naturellement les riches pays de l’Islam.

Si la charité bien ordonnée commence par l’altérité, elle doit toujours s’arrêter lorsque soi-même s’en trouve lésé. Tel est l’ordre des priorités, lorsque la générosité du peuple n’a plus que l’indigne ou un favoritisme suspect à  offrir.  

Aujourd’hui, les milliers de musulmans diplômés et formés dans nos établissements choisissent le Djihad ou installent un Islam au pouvoir en devenant notamment professeurs, côtoyant des collègues gauchistes traumatisés par la tyrannie de la bien-pensance mitterrandienne.

Aujourd’hui, dans le contexte de la réélection d’un François Hollande désespéré de réunir la Gauche qui l’avait fait élire en 2012 à  la faveur d’un mensonge originel, les récentes mesures de meilleures mobilité sociale et de mixité témoignent de l’étendue d’un nouveau piège  »  mitterrandien  «  œuvrant à  l’islamisation de la France. Pourtant, lorsque dans un pays, l’équipe nationale de Football n’est plus capable que du vol d’une tradition islandaise pour saluer sa Nation, alors c’est l’identité française qu’on insulte.

Lorsque François Hollande décore de la plus haute distinction nationale le futur roi régnant de l’Arabie Saoudite, alors on abaisse la grandeur de la France,

Lorsque François Hollande, se soumettant à  la volonté palestinienne, ratifie une résolution absurde de l’UNESCO voulant rompre tout lien entre le peuple juif et le mont du temple au mépris de l’histoire, alors il n’est plus digne de la plus haute fonction,

Lorsqu’il tente de récupérer son électorat musulman en faisant de l’école républicaine l’asile de toutes les aberrations, alors ses serviteurs ont le devoir de lui rappeler que la France ne se prostitue devant aucun Islam faussement bienveillant,

Lorsque la vision d’un Napoléon amoureux de l’excellence aboutit à  la compromission d’un Nabot-Léon, alors il est l’heure de la révérence. Sire, disait Talleyrand,  »  il y a une chose plus terrible que la calomnie, c’est la vérité  « . Le peuple finit toujours par l’entendre.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Mylene Doublet-O’Kane pour  Dreuz.info.