Plus de 60 soldats israéliens tués… des jeunes gens qui aimaient la vie et défendaient leur pays

On parle souvent de « guerre asymétrique » de nos jours, pour désigner un conflit entre la force armée d’un État et des combattants faisant partie d’une organisation, la plupart du temps terroriste. La guerre à  Gaza est plus qu’asymétrique : Israël doit affronter des hommes lourdement armés ne respectant aucune règle de combat,  violant les trêves,  utilisant les enfants et les civils comme boucliers humains. Ces terroristes sont sur leur terrain – des immeubles, des écoles de l’UNRWA, des mosquées, des tunnels, dissimulant les pièges mortels. Autant de lieux que Tsahal hésitera toujours à  bombarder afin d’épargner les civils. Ces hommes sans foi ni loi  n’hésitent pas à  sacrifier leurs propres enfants, et même à  menacer les journalistes qui osent dire la vérité.

 

 » Nous aimons la mort autant que les Juifs aiment la vie ! « , clame le Hamas. Voir la  lettre d’une mère israélienne à   une mère gazaouite  :   »  Nous sanctifions véritablement la vie. Et vous ? Est-ce là  la société dans laquelle vous voulez vivre ? Une société qui sanctifie la mort ?  « …

Le combat est inégal, car ces gens ne respectent rien, rien de la vie qui anime les soldats israéliens protégeant leur pays et leurs familles. Le dieu de ces terroristes – hommes de terreur – est un dieu de mort et de ténèbres. Ils combattent cagoulés de noir, avec pour seule devise : semer la destruction et mourir.
Lorsque l’on sait combien cette bande de Gaza (le Goush Katif) était riche, dans les mains des pionniers juifs : c’était  le potager et  le verger d’Israël ! Aujourd’hui, c’est devenu une terre stérile, les serres ayant été détruites, plus rien n’y pousse que la haine et l’amour de la mort… et les bases de lancement de roquettes.  Depuis le déversement des milliards de dollars des Etats-Unis, de l’Europe, du Qatar… cela aurait pu être un paradis. Aujourd’hui, c’est un enfer pour les Gazaouis restants, qui ne peuvent s’en prendre qu’à  leurs responsables et au ‘Hamas.

En fait, nous constatons que ceux qui égorgent les chrétiens de Mossoul, les crucifient en Syrie, les décapitent en Libye ou les font brûler vifs, ceux qui violent les petites filles au Nigeria et les mutilent, sont du même esprit, c’est bien celui du  ‘Hamas.

 

L’esprit du ‘HAMAS, ennemi de Dieu

Le mot même  ‘Hamas  –  ×—מס  – se trouve dans la Bible Il existe 59 fois dans le Tanakh, désignant la violence, l’injustice, la cruauté, mais aussi la fausseté, l’hypocrisie. Dès le départ, du temps de Noé (Gen 6  :11), la terre est remplie de  violence  (‘HAMAS), elle est corrompue, et Dieu veut la détruire. Dieu a horreur du   » méchant, qui se délecte dans la violence (HAMAS) «   (Ps 11  :5). Plus loin, nous voyons Agar animée de mépris (‘HAMAS) contre Sarah (Gen 16  :5) – Agar l’égyptienne protège son fils Ishmaël, et cette jalousie/haine perdure aujourd’hui.
Le mot  ‘Hamas  désigne également ce qui est faux et hypocrite, et nous pouvons donner ce qualificatif aux nations et aux medias qui dénigrent Israël :   » Tu ne répandras point de faux bruit. Tu ne te joindras point au méchant pour faire un faux (HAMAS) témoignage   » (Ex 23:1). Tous ceux qui délégitiment Israël et critiquent  injustement  son gouvernement, participent à  cet esprit  ‘Hamas.  La fausseté est le contraire d’un esprit droit, elle est liée au mensonge et au Menteur.
Quelle hypocrisie de manifester tant de soi-disant compassion pour le peuple de Gaza, alors que rien n’est fait pour les 200 000 morts de Syrie, et ceux d’Irak dont on ne parle absolument pas ! Pour ces massacres, où est l’indignation du monde ?…
L’Eternel garde Sa protection sur Israël
Nous bénissons Benyamin Netanyahou, chef du gouvernement de l’Etat hébreu, non seulement parce qu’il est une autorité placée par D.ieu, mais aussi parce qu’il a agi avec sagesse, modération et détermination. Nous bénissons les chefs militaires et ses soldats, qui se sont comportés comme  les valeureux guerriers du roi David. Leur mort n’est pas vaine.
Avec le projet de destruction que le ‘Hamas avait préparé notamment pour Rosh hashanah, nous ne pouvons que remercier l’Eternel, le Puissant de Jacob, qui a coupé l’herbe sous les pieds de l’ennemi :  « Ils avaient tendu un filet sous mes pas  : mon âme se courbait  ; ils avaient creusé une fosse devant moi  : ils y sont tombés »  – Psaume 57:7.
Nous bénissons les familles endeuillées, que seul D.ieu peut consoler. La tristesse prendra du temps à  disparaître avant que les chants d’allégresse ne retentissent à  nouveau, et que les morts ne ressuscitent. Le Mashiah, le Prince de la vie, est proche.
L’amour de la vie
Qu’Israël garde son amour de la vie ! Il donne en cela une leçon au monde entier. Malgré la guerre, Israël continue à  soigner les blessés palestiniens, sur le Golan ou à  la frontière de Gaza ; il continuera même à  soigner les petits-enfants des chefs du Hamas.  A l’inverse de ce médecin belge qui a refusé de s’occuper d’une dame juive de 90 ans, les médecins israéliens continueront à  soigner toute personne, quelle que soit sa race ou sa religion.
Le peuple juif poursuit son oeuvre humanitaire – il aime la vie.