Cette nuit , 23 novembre au matin, j’ai reçu un rêve qui hélas, sous diverses formes, est récurrent pour moi. J’étais dans un grand banquet: il y avait des centaines de personnes, assises autour de tables rondes. L’ambiance était sympathique, tout le monde semblait bien manger, il y avait un pianiste qui jouait avec d’autres musiciens, cela faisait une musique de fond.

 

 

Puis le repas s’est achevé, et certains ont commencé à  partir. J’ai vu que le piano était déserté, les autres musiciens étaient aussi partis, et les micros étaient coupés. Je m’en suis approchée, avec le désir de chanter des chants qui me venaient au coeur; Mais pas de partitions, et je ne savais les jouer de tête; Alors, je me suis mis à  jouer en chantant en langues. Je chantais fort, mais ma voix ne pouvait porter loin et de toute façon, cela n’interessait personne. Pourtant, deux, trois personnes se sont approchées, me demandant de continuer.

 

 »   Enfin quelque chose de spirituel dans ce banquet ! » , dit une jeune femme.

 

Je me suis réveillée à  ce moment.

 

Une fois de plus, le Seigneur me parlait de l’état de l’Eglise, une Église qui n’est pas SON Eglise, mais où il y a encore quelques enfants qui lui appartiennent. Ce qui me frappe, c’est que de rêce en rêve, le nombre des  » vivants   » (selon Dieu et non selon les hommes: Apoc 3:1…  Voici ce que dit celui qui a les sept esprits de Dieu et les sept étoiles : Je connais tes oeuvres. Je sais que tu passes pour être vivant, et tu es mort.) était de plus e plus restreint. Oh l’assemblée était belle, les gens semblaient heureux, trouvaient que la nourriture était bonne. Mais tous,  à  deux trois exceptions près, n’étaient pas citoyens du ciel, mais citoyens de la terre.

ILS NE SAVAIENT PAS QU’ILS N’ÉTAIENT PAS SAUVÉS; ILS NE SAVAIENT PAS QU’ILS NE SERAIENT PAS ENLEVÉS.

 

Une fois de plus, un profond sentiment de découragement m’a atteinte. Une fois de plus j’ai eu envie de demander au Seigneur de m’emmener tout de suite là -haut. Pourtant, je sais, car cela m’est prophétisé de tous côtés et que je le ressens au fond du coeur, ma mission n’est pas terminée. Dieu veut ramener la vie dans la partie de l’Église résiduelle qui prendra conscience qu’elle marche dans le mensonge et l’illusion, et surtout, déverser sa vie dans des populations qui ont faim et soif de la vérité et qui ne la trouvent plus à  l’intérieur des bâtiments dénommés  »  églises  « , mais où une sert une nourriture qui paraît bonne mais qui ne change ni les coeurs, ni les consciences, ni l’âme de quiconque et qui ne transporte personne dans le troisième ciel.

 

Mais je sais aussi que cela ne se fera pas sans que de profondes secousses ébranlent les cieux et la terre, et que des gens lèvent enfin les yeux vers le ciel, en prenant conscience de leur état réel (lire Es 24), et non plus vers les choses de ce monde, assemblées  »   chrétiennes   »  comprises.

 

Es 24  

1 Voici, l’Eternel dévaste le pays et le rend désert, Il en bouleverse la face et en disperse les habitants. 2 Et il en est du sacrificateur comme du peuple, Du maître comme du serviteur, De la maîtresse comme de la servante, Du vendeur comme de l’acheteur, Du prêteur comme de l’emprunteur, Du créancier comme du débiteur. 3 Le pays est dévasté, livré au pillage; Car l’Eternel l’a décrété.
4 Le pays est triste, épuisé; les habitants sont abattus, languissants; Les chefs du peuple sont sans force. 5 Le pays était profané par ses habitants; Car ils transgressaient les lois, violaient les ordonnances, Ils rompaient l’alliance éternelle. 6 C’est pourquoi la malédiction dévore le pays, Et ses habitants portent la peine de leurs crimes; C’est pourquoi les habitants du pays sont consumés, Et il n’en reste qu’un petit nombre.

…16 De l’extrémité de la terre nous entendons chanter : Gloire au juste ! Mais moi je dis : Je suis perdu ! je suis perdu ! malheur à  moi! Les pillards Pillent, et les pillards s’acharnent au pillage.  17 La terreur, la fosse, et le filet, Sont sur toi, habitant du pays ! 18 Celui qui fuit devant les cris de terreur tombe dans la fosse, Et celui qui remonte de la fosse se prend au filet; Car les écluses d’en haut s’ouvrent, Et les fondements de la terre sont ébranlés. 19 La terre est déchirée, La terre se brise, La terre chancelle. 20 La terre chancelle comme un homme ivre, Elle vacille comme une cabane; Son péché pèse sur elle, Elle tombe, et ne se relève plus.

 

Tant pis pour ceux que cela choque.  Non, Dieu ne déverse pas des paroles lénifiantes sur l’Eglise des homes, il appelle à  se repentir, et souvent à  en sortir pour aller le chercher, face à  face, dans le désert….

 

Tandis que je recevais ce rêve, j’avais un mail de Myriam que ne n’avais pas encore ouvert:  »  JE SUIS SAINT, dit ton Dieu  «   . Je publie les deux quasiment ensemble.

 

DIEU PARLE !!!!!

 

Qui veut entendre ?