MAV: Un texte dans mes archives depuis 2011. Dépassé  ?

Source http://www.lueur.org/textes/la-peur.html

Mise en page et en image par Liliane

Nous vivons dans le monde de la peur. Ce monde croule sous la peur; les hommes ont peur de tout  : peur de la délinquance, de l’insécurité; ils ont peur des tremblements de terre, peur des maladies insidieuses, peur de la pollution, peur des cataclysmes, peur du réchauffement de la planète avec tout ce que cela peut engendrer de conséquences. L’atmosphère de ce monde est saturé de crainte et de méfiance; et ceux qui voudraient dire le contraire, ont aussi la peur au fond de leur être. La parole de Dieu nous montre que le croyant ne doit pas craindre ce que ce monde craint  :

Esaïe 8.9-13:

 » 9 Poussez des cris de guerre, peuples! et vous serez brisés; Prêtez l’oreille, vous tous qui habitez au loin!; Préparez-vous au combat, et vous serez brisés. 10 Formez des projets, et ils seront anéantis; Donnez des ordres, et ils seront sans effet: Car Dieu est avec nous.( le début de ce passage s’adresse à  des peuples ennemis d’Israël) 11 Ainsi m’a parlé l’Éternel, quand sa main me saisit, Et qu’il m’avertit de ne pas marcher dans la voie de ce peuple: 12 N’appelez pas conjuration tout ce que ce peuple appelle conjuration; Ne craignez pas ce qu’il craint, et ne soyez pas effrayés. 13 C’est l’Éternel des armées que vous devez sanctifier, C’est lui que vous devez craindre et redouter. »

Nouveau Testament: Matthieu 8.23-27:

 » 23 Il monta dans la barque, et ses disciples le suivirent. 24 Et voici, il s’éleva sur la mer une si grande tempête que la barque était couverte par les flots. Et lui, il dormait. 25 Les disciples s’étant approchés le réveillèrent, et dirent: Seigneur, sauve-nous, nous périssons! 26 Il leur dit: Pourquoi avez-vous peur, gens de peu de foi? Alors il se leva, menaça les vents et la mer, et il y eut un grand calme. 27 Ces hommes furent saisis d’étonnement: Quel est celui-ci, disaient-ils, à  qui obéissent même les vents et la mer? « .

Marc au chapitre 5:

« 22 Alors vint un des chefs de la synagogue, nommé Jaïrus, qui, l’ayant aperçu, se jeta à  ses pieds, 23 et lui adressa cette instante prière: Ma petite fille est à  l’extrémité, viens, impose-lui les mains, afin qu’elle soit sauvée et qu’elle vive. 24 Jésus s’en alla avec lui. Et une grande foule le suivait et le pressait. »

puis au verset 35:

 » 35 Comme il parlait encore, survinrent de chez le chef de la synagogue des gens qui dirent: Ta fille est morte; pourquoi importuner davantage le maître? 36 Mais Jésus, sans tenir compte de ces paroles, dit au chef de la synagogue: Ne crains pas, crois seulement. »


Par la suite Jésus a ressuscité la fille de Jaïrus.

Il y a d’innombrables sujets de crainte. cela ne date pas d’aujourd’hui puisque ça a commencé dans l’Eden après la désobéissance d’Adam et d’Ève, dans le paradis perdu. Ils ont désobéi à  Dieu, ils ont succombé à  la tentation. Et voilà  que Adam va dire à  Dieu: »je me suis caché parce que j’ai peur ».

La crainte, la peur est entrée dans le monde avec le péché; elle est une conséquence du péché dans le monde.

Si bien qu’à  l’heure actuelle, on a peur de tout: peur de mourir mais aussi peur de vivre. Crainte pour le présent, crainte pour l’avenir. La peur est omniprésente dans ce monde, si bien que les compagnies d’assurance n’ont jamais aussi bien fonctionné. Parce que les hommes ont peur de ceci ou de cela, autant qu’ils le peuvent, ils s’assurent; mais ils ne peuvent s’assurer auprès des compagnies d’assurance en ce qui concerne l’éternité.

Ce n’est que par la foi en Jésus que l’on peut s’assurer pour l’éternité.

La peur est omniprésente dans le cœur et dans la pensée des hommes. On a peur aussi d’être mal jugé, peur du qu’en dira-t-on; la peur est en tout moment et en tout lieu.

Le Seigneur, pourtant, nous a dit bien des fois: »Ne crains pas », « N’aie pas peur »,  » Ne soyez pas effrayés ».

C’est Richard Burbrand, ce serviteur de Dieu qui a été en prison 14 ans en Roumanie pour sa foi, qui disait: » On me demandait si ma foi était assez forte pour subir les mauvais traitements; je me souvins qu’il est écrit 366 fois dans la Bible: »Aie foi pour chaque jour de l’année, n’aie pas peur »; 366 fois! Non pas tout bonnement 365 mais 366 pour tenir compte des années bissextiles. Et nous étions justement le 29 Février, une coïncidence qui me fit comprendre que je n’avais pas le droit d’avoir peur! »

Tirons en nous aussi la leçon: 366 fois dans la Bible où l’on peut lire: »N’ayez pas peur », »Ne crains pas », » ne sois pas effrayé », etc…La même pensée; n’est-ce pas frappant pour un homme qui était au fond d’un cachot, de sentir que le Seigneur lui disait: »N’aie pas peur! »

À nous aussi, comme aux disciples dans la barque, le Seigneur Jésus pourrait nous dire: »Hommes de peu de foi! »; c’est vrai: alors que le Seigneur nous dit ne crains pas. Je me souviens toujours de cette femme à  qui j’ai rendu visite quand je servais le Seigneur dans le Nord de la France, qui me disait qu’elle était plus avancée dans la foi que son mari; mais quand survenait pendant la guerre un bombardement, elle était paniquée et ne savait plus quoi faire, elle était dans la crainte, la peur, la terreur. Elle était reprise par son mari qui, quoique moins avancé qu’elle dans la foi, lui disait: »Femme où est ta foi? ».

Le Seigneur peut nous dire aussi « Où est ta foi? » quand nous paniquons en face de difficultés qui surviennent sur notre route.

L’effet de la peur, quel est-il? Voici une petite expérience que l’on peut faire. Vous donnez à  votre chat une bouillie de sulfate de baryum, vous conduisez votre chat chez le vétérinaire pour lui faire subir une radioscopie de l’estomac. Le chat étant en paix, la radio va montrer un processus de bonne digestion: lentes ondulations péristaltiques; tout se passe bien. Mais faites rentrer un chien, le chat va se raidir, hérisser son poil, et il y a un brusque arrêt dans la digestion. Et si cette expérience est répétée, il y a pour le chat un risque d’ulcère à  l’estomac. Ce qui se passe avec le chat, se passe aussi avec nous;

si nous laissons accès à  la peur, et si nous succombons devant la crainte, un dérèglement organique durable va apparaître dans notre corps.

Un médecin a dit:  » La peur est la puissance la plus destructrice qui soit « . La peur des microbes ouvre la porte à  beaucoup de maladies; les gens apeurés par les microbes les attrapent beaucoup plus fréquemment que les personnes qui n’en ont pas peur. La peur ouvre la porte à  tous les dérèglements: il y a des peurs nerveuses qui vont causer toutes sortes de maladies.

Job disait (3.25,26):

« 25 Ce que je crains, c’est ce qui m’arrive; Ce que je redoute, c’est ce qui m’atteint. 26 Je n’ai ni tranquillité, ni paix, ni repos, Et le trouble s’est emparé de moi. »

Ce que je crains c’est ce qui m’arrive, est vécu par beaucoup d’hommes; alors que la Bible nous dit de ne point craindre et ne pas avoir peur. Pensons donc que la crainte est une conséquence du péché, mais c’est aussi une marque de notre péché. Ne pas croire que le Seigneur peut intervenir, c’est pécher contre lui.

C’est un manque de confiance; de quel droit, moi, manquerais-je de confiance à  l’égard de notre Dieu? À l’égard de Jésus notre sauveur?

La structure de notre être montre que Dieu nous a créé pour la foi.

Pour vivre dans la foi, et non vivre dans la peur. Vivre dans la crainte, c’est en quelque sorte provoquer la destruction de notre corps, de notre âme et de notre esprit. Nous avons l’esprit tourmenté et cela nous démoli physiquement, moralement, spirituellement.

David a pu écrire:

« Je suis dans la crainte à  cause de mon péché » (Ps 38.19).

Pour être libéré de notre crainte, il nous faut, tout d’abord être libéré de notre péché.

Si quelqu’un n’est pas libéré de son péché et vit dans la crainte, je dirais qu’il faut d’abord que la question du péché soit résolue. Que tu reçoives le pardon de tes péchés; que tu confesses tes péchés que tu les abandonnes au Seigneur que tu reçoives le pardon que Dieu peut t’offrir en Jésus. À partir de ce moment-là , tu ne seras plus dans la crainte, mais tu seras dans la paix, tu seras dans la joie du salut, et dans la reconnaissance envers ton Dieu.

Il faut donc être libéré du péché. Le plus grand des péchés, qu’est-ce? Voler, tuer?

Non:

le plus grand des péchés c’est l’incrédulité. Car l’incrédulité ouvre la porte à  la désobéissance et à  tout le reste.

Laissons la crainte aux incrédules. Nous, nous sommes des croyants qui vivons dans la foi. La foi chasse la crainte et la crainte chasse la foi. Alors, qu’allons nous choisir? La foi chasse la crainte, c’est cela notre programme. Dieu dit, en substance, dans la lecture que nous avons faite: « Ne craignez pas ce que les gens des autres peuples craignent ».

Et le Seigneur veut nous dire: « Toi croyant, ne crains pas ce que les incroyants craignent! » Il était dit aussi: »Ne redoutez pas »; reconnaissez que le Seigneur, c’est Lui votre Dieu, c’est Lui que vous devez servir, c’est Lui que vous devez respecter et vénérer, adorer. Dieu est avec nous. Dieu nous attend là ! Il nous montre que nous devons avoir foi quand bien même la tempête survient autour de nous, sachons que le Seigneur est le maître de la tempête.

C’était au XVIIIème siècle, la tempête faisait rage; revenant de l’Amérique vers l’Angleterre, un Pasteur dont le nom a marqué l’histoire de l’Église, John Wesley, lisait tranquillement dans sa cabine. On lui révèle le danger, car survient une tempête très forte, et il y a risque pour le navire. Westley ne se départit pas de son calme: »Prions »dit-il et lui-même prie. Et il fait monter cette prière: »à” Dieu tout puissant, tu as domination sur tout, et toute chose, sers les desseins de ta volonté. Tu tiens les vents dans ta main, tu t’assieds sur les grandes eaux, et tu règnes en roi pour l’éternité. Commande à  ces vents et à  ces vagues, qu’ils t’obéissent et conduis nous sûrement au port où nous devons aller ».

Il se releva puis reprit tranquillement sa lecture. Celui qui était venu lui dire: »Il y a crainte », témoigne: »Je remontais sur le pont, et quelle ne fut pas ma surprise en constatant que le vaisseau continuait sa course dans la bonne direction, poussé tout simplement par une brise légère ». Wesley, lui, ne s’en étonna pas; il avait fait confiance au Seigneur, il s’attendait parfaitement à  être exaucé, si bien qu’il n’a pas eu le moindre doute.

Pour nous, suivons le même chemin. Un chemin de foi. Aujourd’hui, il y a possibilité de guérison en ce qui concerne nos peurs; il y a peut-être encore en nous quelque crainte, au sujet de notre présent, de notre santé, de nos familles, etc…

Laissons nos craintes de côté et faisons confiance maintenant au Seigneur. Pour cela il faut savoir, d’abord, écouter Sa voix et L’entendre nous redire à  travers les pages de la Bible, à  travers ce que l’Esprit peut nous rappeler des paroles que nous avons lues: tu ne dois pas craindre, ne t’effraie pas, sois sans crainte, n’aie pas peur.

C’est ce que Jésus dit à  Jaïrus. Et il veut nous dire aussi aujourd’hui: »Sois sans crainte et pour cela il faut que tu places toute ta confiance en moi. En dehors de cela, tu es sur un terrain mouvant, mais si tu te confies à  moi, tu es sur un terrain sûr. » David disait: »Quand je suis dans la crainte, en Toi je me confie ».Voilà  son secret. Et la Bible nous dit que Dieu ne nous a pas donné un esprit de timidité ou de crainte, mais un esprit de force, d’amour et de sagesse.

Le prophète Esaïe transmet aussi cette parole:

« Ne promène pas des regards inquiets, sois sans crainte, je suis ton Dieu, je te fortifie, je viens à  ton secours ».

« L’Éternel est ma lumière et mon salut » dit David dans le psaume 27

« de qui aurais-je crainte? ».

Nous n’avons plus qu’à  craindre une seule chose: c’est d’offenser notre Seigneur.

Nous chantions autrefois: »Nous n’avons qu’une crainte au monde, c’est d’offenser notre Seigneur ». C’est bien là  la seul crainte: celle de déplaire à  Dieu. Mais pour toutes les autres craintes, celles par lesquelles Satan voudrait nous tenir sous sa coupe, nous refusons de nous apeurer, nous refusons toute crainte.

Pour être libéré de la crainte, il nous faut aussi être affranchi de ce qui nous tenait en esclavage.

Par exemple, la superstition. Il y a encore beaucoup de superstition de par le monde; et l’on a beau être dans un siècle où l’instruction est de plus en plus élevée et démocratisée, la superstition fleurit de plus belle: horoscopes à  la radio et la TV, journaux spécialisés, etc…et beaucoup de gens vivent dans la crainte de ce qui va leur arriver dans la journée.

Nous étions sur le marché il n’y a pas tellement longtemps; nous avions un quotidien à  la main et la dame du stand voisin nous a demandé si nous pouvions lui prêter le journal; ce que nous avons fait; et cette dame a précisé qu’elle voulait voir l’horoscope du jour; nous avions justement un livre qui dénonce l’engouement pour l’horoscope et nous lui avons proposé ce livre; mais elle n’en a pas voulu; elle est restée dans sa crainte.

Il y a tant de gens comme ça; alors, ce qu’il faut, c’est repousser toute forme de superstition. Il y a aussi des gens qui disent: »Touchons du bois pour que cela ne m’arrive pas »; ceci est une autre forme de la superstition; en fait ces gens qui agissent ainsi, vivent dans la crainte.

Je me rappelle, que dans le nord de la France nous avions fait une série de réunions sous un chapiteau; le Seigneur avait agit avec des gens qui avaient trouvé le chemin de la foi. Certains avaient été guéris; nous demandions des témoignages et une dame s’est avancée pour témoigner de sa guérison après une imposition des mains; mais elle a terminé son témoignage en ajoutant: »Et je touche du bois pour pas que ça (sa maladie) ne recommence pas! ».

Il a fallu expliquer a cette dame qu’elle était hors de la foi. Et il y a tant de personnes qui sont ainsi; sans parler des clients des tireuses de cartes, des recours à  des guérisseurs. Par quelle puissance ces guérisseurs agissent? Non pas sous la puissance du Seigneur, mais sous la puissance de l’Adversaire.

Ainsi donc, si l’on a été poussé par les craintes que l’on avait, dans des voies tortueuses, nous devons maintenant y renoncer et nous devons demander pardon à  Dieu, même si c’est par ignorance que nous nous sommes fourvoyés en lui disant: »Je ne savais pas, mais maintenant que je suis éclairé, je me rends compte que je suis allé dans des directions que je n’aurais jamais dû prendre et Te demande d’être délivré de tout cela, et que je sois complètement affranchi ».

Le Seigneur nous appelle à  placer toute notre confiance en Lui, Jésus notre sauveur, Fils de Dieu et qui a dit: »Croyez en Dieu, croyez aussi en moi ».

Quand on a Jésus pour Sauveur et pour Seigneur, nous n’avons aucune crainte quand bien même nous serions dans les circonstances les plus défavorables.

Nous sommes dans la paix; nous savons que c’est le Seigneur qui est au gouvernail; nous pouvons être nous aussi battus par la tempête, mais c’est le Seigneur qui nous dirige et nous conduira en lieu sûr à  travers les difficultés. Plus de crainte; plus de crainte pour le présent, pour l’avenir. En ce qui concerne la mort, nous savons que le Seigneur Jésus est allé nous préparer une place, nous savons qu’il reviendra bientôt, savons qu’il tient toute notre vie dans Sa main.

Et puis nous devons aussi aimer le Seigneur, de tout notre cœur, avec toute notre foi, l’amour parfait, bannir la crainte: quand on aime le Seigneur, on n’a plus peur.

Je dois donc aimer le Seigneur plus que tout et j’ai besoin d’être gardé par le Seigneur pour être soutenu, pour être aidé, pour être guéri, pour être consolé, pour vivre dans ma paix et vivre dans ma joie. Si l’un d’entre nous avait encore dans son cœur, dans sa pensée, dans les fibres de son être, de la crainte, c’est le moment de dire:

« Je refuse cela, j’abandonne cette crainte au Seigneur pour qu’il m’en délivre et je ne veux plus connaître la peur et la frayeur car Jésus est mon sauveur, Il est mon bon berger, cela me suffit ».

Gloire à  son nom! Et s’il y a en nous, peut-être le souvenir d’un traumatisme ancien qui a provoqué des peurs il faut demander au Seigneur d’en être délivré.

Il y a des personnes que avons connues qui vivaient dans la crainte. En les interrogeant, nous avons découvert qu’il y avait eu une origine traumatique: quelquefois il s’agissait de la morsure d’un chien, d’un accident, et depuis on vit dans la crainte. Il nous faut être délivré aussi de tout souvenir de crainte qui nous a marqué, de telle sorte que la racine même soit extirpée.

Et puis ne prononçons plus cette formule que tant et tant prononcent: »Pourvu que »;

à  partir du moment où je dis pourvu que cela veut dire que j’ai une crainte au fond de mon cœur; ce n’est pas la foi; il faut abandonner cette forme de raisonnement qui est fausse à  l’origine et dire: »Quelles que soient les difficultés que je rencontre, quelles que soient les impossibilités devant lesquelles je me trouve, je conserve la foi que le Seigneur me donnera la délivrance, qui m’affranchira de cela.

Je voudrais terminer en lisant avec vous dans le livre des Proverbes en 3.3-5 ceci:

« Que la bonté et la fidélité ne t’abandonnent pas; Lie-les à  ton cou, écris-les sur la table de ton cœur. Tu acquerras ainsi de la grâce et une raison saine, aux yeux de Dieu et des hommes. Confie-toi en l’Éternel de tout ton cœur, Et ne t’appuie pas sur ta sagesse; Reconnais-le dans toutes tes voies, Et il aplanira tes sentiers. Ne sois point sage à  tes propres yeux, Crains l’Éternel, et détourne-toi du mal: Ce sera la santé pour tes muscles, Et un rafraîchissement pour tes os. »