Dois-je dire que l’hystérie anti-Trump devient délirante, ou devrais-je dire qu’elle l’a été dès le commencement  ?

Les discours tenus dans les médias politiquement corrects de toute la planète au moment où Donald Trump a présenté sa candidature ont été moqueurs et condescendants. A mesure que la campagne électorale américaine a avancé et qu’il est devenu clair que Donald Trump serait le candidat républicain, les moqueries et la condescendance se sont transformées en haine.

Lorsque Donald Trump a affronté Hillary Clinton, la haine est devenue frénétique. Passé le choc qu’a été l’élection de Donald Trump, la haine frénétique s’est transformée en signes convulsifs.

Les démocrates américains ne se sont toujours pas remis et passent leur temps à  trépigner, en proie à  des troubles obsessionnels compulsifs qui leur font voir la main de Moscou partout et à  des hallucinations qui les conduisent à  imaginer que Donald Trump va être confronté de manière imminente à  une procédure d’empêchement. Les grands médias américains, qui ont renoncé à  prétendre être des organes d’information et sont devenus des déversoirs de propagande bilieuse se font les relais des troubles obsessionnels compulsifs et des hallucinations. Les médias de nombre de pays, dont, à  de très rares exceptions près, les médias français s’abreuvent aux déversoirs de propagande bilieuse jusqu’à  l’ébriété, et publient des articles si nuls et si biaisés qu’ils en deviennent pathétiques et grotesques.

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