La chronique hebdomadaire de Michel André – Cet article, dont nous conseillons vivement la lecture car il nous fait comprendre ce qui se passe dans notre monde ACTUEL fait suite à  deux autres articles:

http://www.michelledastier.org/index.php/2010/03/13/1709-retour-sur-la-shoah-la-chronique-hebdomadaire-de-michel-andre-1ere-partie

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Qui a financé le nazisme ?


.Le Traité de Versailles et ses conséquences désastreuses

L’avenir de l’Allemagne était déjà  hypothéqué après la signature du Traité de Versailles qui l’obligeait à  payer des réparations de guerre pour un montant de 123 milliards de mark-or et à  céder annuellement 26% de la valeur de ses exportations. Il s’ensuivit un écroulement de la monnaie allemande qui était prévisible étant donnée l’énormité des exigences que représentait le Traité. En même temps, les troupes belges et françaises occupèrent le bassin minier de la Ruhr afin de contraindre l’Allemagne au paiement des réparations.

 » Car il n’y a rien de caché qui ne doive être découvert, ni de secret qui ne doive être connu «  (Mat 10 :26)

Pour mettre un terme à  cette occupation, un compromis fut accepté, connu sous le nom de Plan Dawes, élaboré par JP Morgan, banquier ami de la famille Rothschild, accordant à  l’Allemagne un crédit de 800 millions de $ sur quatre ans. Mais ce plan échoua à  cause de ses faiblesses-il reposait sur la contrainte et le contrôle (occupation de la Rhénanie) et un second plan, le plan Young remplaça le Plan Dawes. En Suisse la BRI- Banque pour le Règlement International fut créée afin de  » réguler  » les mouvements d’argent provenant des paiements pour les réparations de guerre.

Ce qu’il faut savoir c’est que ces plans en fait devaient rapporter beaucoup d’argent à  leurs initiateurs. Le système consistait à  soutenir d’un côté tous les partis en conflit, et d’un autre côté prêter de l’argent à  l’Allemagne pour payer les réparations de la guerre…

En définitive, les énormes capitaux américains versés sous les couvertures des Plans Dawes et Young constituèrent la base financière sur laquelle le chancelier Hitler allait construire tout son arsenal pour la future seconde guerre mondiale.

 » L’apport fourni à  l’Allemagne, avant 1940, par le capitalisme américain en vue de préparer la guerre ne peut être qualifié que de phénoménal. Il fut, sans doute, décisif pour la préparation militaire de l’Allemagne. Des preuves permettent de comprendre que le secteur influent de l’économie américaine était, certes, lucide sur la nature du nazisme, prêt à  l’aider et à  le soutenir financièrement par intérêt personnel, pleinement conscient que cela finirait par une guerre où serait impliqués l’Europe et les Etats-Unis…

En connaissant les faits, il est impossible de plaider l’ignorance. Les preuves très soigneusement établies qui attestent que les milieux bancaires et industriels américains étaient largement impliqués dans la montée du troisième Reich sont maintenant accessibles au public. On peut les trouver dans les comptes rendus et les rapports sur les auditions du gouvernement publiés entre 1928 et 1946 par les différentes commissions du Sénat et du Congrès. Parmi les preuves les plus importantes se trouvent celles fournies par le Sous-Comité du Congrès enquêtant sur la propagande nazie- » House Subcommitee to investigate Nazi Propaganda  » en 1934, par le rapport sur les cartels publié en 1941 par la Commission économique provisoire nationale du Congrès- » House temporary National Economic Commitee « , ainsi que par le Sous-Comité du Sénat pour la mobilisation en 1946- » Senate Subcommitee on War Mobilization 1946 « .( Dr Antony C. Sutton in  » Wall Street and the rise of Hitler « ).

Un grand cartel international du nom de IG FARBEN (InteressenGemeinschaft: groupement d’intérêts) prit son essor en Allemagne dans les années précédant la seconde guerre mondiale. Ce groupement était un consortium de l’industrie chimique dont la place était prédominante en Europe et dans le monde. En 1926, ce cartel avait mis au point une méthode pour fabriquer de l’essence à  partir de charbon, et conclut un contrat de licence avec la  » STANDARD OIL  » de Rockefeller, entre autres. Grâce à  ces contrats IG Farben fournit environ la moitié de la production allemande en essence puis construisit des raffineries proches des camps de concentration dans lesquelles furent employés des prisonniers, qui à  leur insu contribuaient à  fabriquer le gaz qui servit aux chambres à  gaz…

Parmi les  » illustres  » membres d’IG Farben, figuraient les frères Max et Paul WARBURG qui possédaient les plus grandes banques en Allemagne et aux Etats-Unis.

D’autres banquiers, les frères HARRIMAN -qui furent initiés vers 1917 à  la secte satanique  » Skulls and Bones  » dont firent ensuite également partie les Bush père et fils- contribuèrent également à  financer, par l’intermédiaire de l’UNION BANK les plans nazis. Des sociétés comme General Electric, General Motors, International Harvester, Du Pont ou Ford soutinrent directement les SS du Reich. La plupart des dirigeants de ces grandes entreprises étaient des illuminatis et donc avaient préparé tous ces plans de longue date. Les profits qu’ils en tirèrent dépassent l’imagination la plus fertile… Ainsi jusqu’en 1936, plus de 100 firmes américaines furent directement impliquées dans la construction de la machinerie de guerre allemande. Un historien américain G. Edward Griffin, connu pour ses prises de positions contre la Fed (Federal Reserve), résume ainsi cette manipulation :

 » Les banquiers internationaux et leurs agents sont à  l’origine de la situation qui a conduit à  la première guerre ; ils en retirèrent un bon butin ; ils financèrent la révolution Russe et obtinrent le contrôle de ce grand pays ; ils manipulèrent les évènements dans l’Europe d’après-guerre de façon à  provoquer une  » situation  » qui les amena, financièrement parlant,  » au septième ciel  » ; ils utilisèrent des fonds américains qui leur permirent d’empocher d’énormes commissions pour  » équiper l’industrie allemande d’installations techniques de pointe  » et l’amener ainsi, largement à  la seconde place au rang mondial (…). Pendant qu’ils mettaient sur pied l’industrie allemande tout en luttant en même temps contre eux, ils allaient permettre à  un  » homme fort  » d’entrer sur la scène politique. Celui-ci à  son tour, gagnerait les masses à  sa  » cause  » en leur promettant de les libérer des rapaces financiers internationaux ( !). L’Allemagne des années trente était une bombe à  retardement, fabriquée par les banquiers internationaux, elle était dans l’attente d’une personne telle qu’Hitler qui allait entrer en scène et prendre le pouvoir. « 

Ceci nous rappelle comment l’Antichrist apparaîtra au moment où le monde connaîtra une  » situation favorable « – guerres, crise économique majeure- afin de séduire les nations et les amener à  se confier en lui pour ramener  » Ordo ab Chao  » c’est-à -dire l’Ordre naissant du Chaos organisé et planifié.

.Les Familles Thyssen et Bush

 » (…) Oui, ils sont très durs les Américains, ils sont voraces, ils veulent un pouvoir sans partage sur le monde. Une guerre inconnue, une guerre permanente, sans morts apparemment, et pourtant une guerre à  mort. » (François Mitterrand)

« En politique, rien n’arrive par hasard. Chaque fois qu’un évènement survient, on peut être certain qu’il avait été prévu pour se dérouler ainsi. » (Franklin D. Roosevelt)

La famille Bush a joué un rôle central dans le financement et l’armement d’Adolf Hitler avant son accession au pouvoir en Allemagne. Elle a aidé les fabricants de canons à  construire la machine de guerre nazie. Durant les premières années de guerre, la famille Bush a empoché les bénéfices du travail forcé dans les mines d’Auschwitz. Elle a aidé à  développer la théorie de la  » race pure « .

A la fin de la première mondiale, August Thyssen, le plus grand producteur militaire d’Allemagne, craint l’effondrement de son empire sidérurgique. Il fonde à  Rotterdam aux Pays-Bas, pays  » neutre « , la Banque du Commerce et de la Navigation. Il y transfère le butin de guerre de l’August Thyssen Bank à  Berlin pour ne pas payer les dédommagements exigés par le traité de Versailles. En 1923, Fritz Thyssen est conquis par Adolf Hitler, l’homme qui peut sauver l’industrie allemande des révoltes de la classe ouvrière. Le baron de l’acier rencontre Hitler et le général Erich Ludendorff et décide de verser 100 000 marks-or au jeune parti nazi, le NSDAP.

Mais le parti d’Hitler a besoin de beaucoup plus de fonds pour vaincre le mouvement communiste véritable bête noire du régime nazi, bouc émissaire avec les Juifs du complot mondial. Le butin de guerre caché à  Rotterdam ne suffit pas. Thyssen souhaite donc créer une branche américaine. C’est ainsi qu’en 1922, il rencontre à  Berlin Averell Harriman, patron de la société d’investissement W.A. Harriman & Co. Un rapport d’enquête officiel datant de 1942 relate :  » Harriman et Thyssen ont convenu de créer une banque pour Thyssen à  New York. Des amis d’affaires de Harriman se chargeraient de la direction, avec l’envoyé de Thyssen, H.J. Kouwenhoven, arrivé spécialement aux Etats-Unis à  cet effet « .

Ainsi, après Berlin et Rotterdam, Thyssen s’installe aux Etats-Unis. Début 1924, Kouwenhoven, directeur de la Banque du Commerce et de la Navigation, se rend à  New York pour y créer, avec l’aide d’Averell Harriman et George « Bert » Walker, l’  » Union Banking Corporation « (UBC) à  Broadway, à  la même adresse que Harriman & Co. En réalité, l’  » Union Banking Corporation  » est la propriété de la  » Rotterdamse Bank « , à  son tour propriété de Fritz Thyssen(3). Le 10 janvier 1925, la  » August Thyssen Hütte  » obtient un prêt de 12 millions de dollars d’une autre banque américaine, la  » Dillon, Read & Co  » et 5 millions de dollars un an et demi plus tard. Dillon est un vieil ami de Sam Bush, l’arrière-grand-père de l’actuel président américain.

Le 1er mai 1926, George Walker confie la vice-présidence de Harriman & Co à  son beau-fils, Prescott Bush, grand-père de George W. Bush. En 1931, Harriman & Co fusionne avec une société d’investissement britannique.  » Brown Brothers & Harriman  » obtient une part importante dans l’industrie minière polonaise, la  » Consolidated Silesian Steel Corporation « . Les deux tiers de cette compagnie sont aux mains de Friedrich Flick, qui appartient au  » cercle d’amis  » d’Heinrich Himmler. Il utilise une partie de ses bénéfices pour financer l’organisation terroriste Schutzstaffel (SS).

L’arrière-grand-père et le grand-père Bush avaient intelligemment placé leurs avoirs. Via la banque  » Brown Brothers & Harriman  » ils investissent dans l’Allemagne nazie. Via la banque UBC de Thyssen ils récoltent aux USA les bénéfices de l’armement. Ceux-ci se chiffrent en 1934 à  des centaines de millions. A New York, Prescott Bush est devenu entre-temps le managing director d’UBC.  » La famille Bush savait très bien que  » Brown Brothers  » était le canal qui acheminait l’argent vers l’Allemagne nazie et que l’Union Bank était le pipeline secret qui amenait l’agent nazi aux Etats-Unis, via les Pays-Bas « , écrit John Loftus, ancien procureur du département US contre les crimes de guerre nazis.

C’est à  Oswiecim qu’Hitler fera construire en 1939 le premier camp de concentration qui entrera dans l’histoire sous le nom allemand de la petite ville : Auschwitz. Dès la fin de 1941, le camp sera également utilisé pour le travail forcé sous l’autorité des SS de Himmler. Les prisonniers  » valides  » travaillent comme des esclaves dans les mines et dans les usines d’IG Farben et de la  » Consolidated Steel « . Pendant la guerre, Thyssen et Flick revendent la Consolidated Steel à  UBC. La société est rebaptisée Silesian American Corporation, totalement contrôlée par Harriman et le manager Prescott Bush. Le grand-père Bush et Harriman empocheront l’argent du travail fourni dans les mines par les milliers d’esclaves en provenance d’Auschwitz.

Après l’attaque de Pearl Harbor en 1941, le gouvernement américain interdit le commerce avec l’ennemi (Trading with the Enemy Act). Le 22 octobre 1942, les actions de l’  » Union Banking Corporation  » sont saisies, y compris celles de Harriman et Prescott Bush. Le gouvernement constate que la banque de Bush  » gère les bénéfices de la famille Thyssen et appartient à  des ressortissants d’une certaine nation ennemie « . Harriman et Bush sont dénoncés comme collaborateurs. Un mois plus tard, le gouvernement reprend aussi la  » Silesian American Corporation « . Mais la société peut continuer à  travailler et Prescott Bush conserve sa fonction jusqu’en 1943 grâce au soutien de l’avocat Allen Dulles, l’homme qui créera plus tard la CIA. A la mort de Fritz Thyssen, en 1951, les actionnaires de  » Brown Brothers & Harriman  » récupèrent leur argent sale. Prescott Bush reçoit 1,5 million de dollars pour sa part dans UBC, qu’il donne à  son fils, George Herbert Walker Bush, pour se lancer dans le secteur du pétrole. Avec ces fonds, George Bush senior fonde la  » Bush-Overby Development Company « , active dans le commerce du pétrole et dans les brevets pétroliers. Deux ans plus tard, il crée la  » Zapata Offshore Oil Company « , la firme qui exploitera les premiers puits de pétrole au large du Koweït et qui plus tard, comme  » Pennzoil Company « , obtiendra des intérêts au Qatar et en Égypte. C’est avec l’argent des crimes nazis que la famille Bush s’est lancée dans le secteur. (*)

Le nazisme comme idéologie du Nouvel Ordre Mondial

On ne peut qu’être pleinement convaincu, à  la lumière de toutes ces informations, que le nazisme fait bien partie d’un processus visant à  instaurer le nouvel Ordre Mondial qui a ses ardents défenseurs tels Bush, Obama, Sarkozy et autres fervents conspirateurs. C’est le résultat de la continuité d’une longue lignée de penseurs, d’intellectuels et d’occultistes qui prônent l’établissement d’une crise majeure mondiale qui permettra l’instauration de ce gouvernement suprême et néanmoins illégitime, qui s’imposera soit par la persuasion d’une nécessité faussement sécuritaire, soit par la force, au cas où les populations se rebelleraient et seraient donc non-consentantes à  l’idée d’un tel régime dictatorial, dont l’objectif serait d’éliminer les gêneurs, c’est-à -dire les non-conformistes devenus des ennemis, comme le furent les Juifs, et les autres peuples prétendument  » inférieurs « -Tziganes, communistes etc…

On est frappé par les similitudes qui entourent l’accession au pouvoir d’Hitler et de Georges W. Bush, et surtout celles qui concernent les  » prétextes  » qui ont conduit pour le premier à  l’instauration de l’extermination systématique des Juifs, c’est-à -dire l’incendie du Reichstag, pour le second l’  » attentat  » des tours du World Trade Center avec comme conséquence la  » déclaration de guerre  » à  l’Irak, dans le but de détruire de soi-disant armes de destruction massive qui en réalité n’existaient pas.

Tout repose dans un cas comme dans l’autre sur un énorme mensonge qui, diffusé habilement dans l’inconscient collectif est très vite devenu une réalité incontournable acceptée par tous. Les deux personnages, faut-il le rappeler font également chacun partie d’une  » société de la Mort « , Groupe Thulé pour Hitler, Skulls and Bones pour Bush. (cf.  » Retour sur la Shoah  » 2è partie)

Les Juifs, pour Hitler, c’était l’ennemi à  abattre, car menaçant la stabilité de l’Europe, voire du monde par leur emprise dans tous les domaines-clés de la société… et par leurs richesses dont il fallait par tous les moyens s’emparer, l’Irak pour GW Bush est l’ennemi à  abattre car menaçant l’équilibre du Moyen-Orient donc mettant en péril la paix mondiale…et surtout la richesse pétrolière !

Quant à  Barack Obama, rien n’interdit de penser qu’il joue un rôle complémentaire en permettant des réformes coercitives, particulièrement financières, par le truchement de la FED et du FMI, qui vont tôt ou tard mener les Etats-Unis à  une perte certaine. La disparition du dollar américain est programmée, et une union Nord-Américaine avec le Mexique et le Canada est en train de s’accomplir dans le secret, avec à  la clé une nouvelle monnaie unique (Amero ?).

En 2015 est prévue la formation d’un bloc Euro-Atlantique pour soi-disant permettre de meilleurs échanges commerciaux entre les deux parties…

La  » Trilatérale  » européenne

La  » Commission Trilatérale  » fondée en 1973 à  l’initiative de  » hauts personnages  » tels David Rockefeller, Zbigniew Brezinski, Henri Kissinger, avait comme objectif d’englober le nations industrialisées dans une organisation  » semi-secrète  » de structure pyramidale d’essence maçonnique, dont le sommet est les USA (Wall Street), et la base le Japon (Tokyo Stock Exchange) et l’Europe (City de Londres). Les membres qui la composent font tous partie de l’élite du CFR, du Bilderberg Group et de la Franc-maçonnerie anglaise, mère de toutes les loges maçonniques mondiales. Elle exerce un contrôle rigoureux sur les Etats et l’économie internationale et impose ses vues sur la gouvernance et l’avenir des pays industrialisés. Tout en étant de  » fervents  » démocrates, les membres de la Trilatérale sont cependant opposés à  la démocratie qui représente pour eux un réel danger :  » plus un système est démocratique plus il est exposé à  des menaces intrinsèques  » (rapport de la Commission 1975).

Ce modèle est transposable à  l’Europe. On pourrait parler d’une  » Trilatérale dans la Trilatérale  » formée par l’Allemagne, la France et l’Angleterre formant un  » triangle  » politico-économique, en ce sens que rien ne se fait actuellement au niveau européen sans les voix prépondérantes de ces trois nations les plus fortes économiquement parlant. Rien n’interdit de penser qu’une de ces trois nations, en l’occurrence l’Allemagne, pourrait de nouveau imposer ses vues au reste des nations européennes, en cela secondée par l’Angleterre, qui détient de puissants appuis financiers grâce à  sa livre-sterling et à  l’irruption des banques islamiques sur son sol, et par la France qui se fait, par l’entremise des politiciens, le chantre de ce Nouvel Ordre Mondial en jetant les bases de réformes multiples touchant à  l’immigration et à  la sécurité (fichiers de renseignements, réformes judiciaires, outils multiples de surveillance des citoyens…), en créant des divisions au sein des partis politiques qui ne font rien pour chercher à  s’entendre, en voulant faire voter des taxes sur le carbone etc. qui serviront à  remplir les caisses des futurs nouveaux dirigeants.

On a vu, au cours des cinquante dernières années des tentatives de réconciliation entre la France et l’Allemagne :

– Le 22 janvier 1963 signature du Traité de l’Elysée entre Charles de Gaulle et Konrad Adenauer

– Le 24 septembre 1984 à  Verdun, gestes de paix entre F. Mitterrand et Helmut Kohl

– Le 6 juin 2004 entre Jacques Chirac et G. Schrà¶der

Bien sûr ces manifestations  » amicales  » ont été unanimement saluées par la presse et les médias du monde entier. Il n’en demeure pas moins que l’Allemagne n’a pas encore  » tiré de trait  » sur sa volonté d’hégémonie et cherche à  s’allier à  ses voisins pour mieux asseoir son autorité sur le reste de l’Europe. Devant toute cette façade de bons sentiments se cache une réalité beaucoup moins idyllique que nos sociétés devraient s’apprêter un jour ou l’autre à  découvrir, celle d’une résurgence plus que probable de l’idéologie nazie.

D’ici le 3 octobre 2010, l’Allemagne soldera environ 56 millions d’euros de charges d’intérêts consécutives aux réparations de la guerre de 1914-1918… cette date coïncidant avec celle du vingtième anniversaire de la réunification des deux Allemagne.

Nazisme ou Communisme ? Conclusions

L’un des « penseurs » de la Trilatérale, Zbigniew Brzezinski, n’a pas craint d’écrire: « Le marxisme est une victoire de la raison sur la foi, une étape vitale et créatrice dans le mûrissement de la vision universaliste de l’homme« , et le secrétaire de la branche américaine de la mystérieuse société en 1976, Gérald C. Smith, d’ajouter que: « En aucun cas, la Trilatérale ne devait être anticommuniste« .

Hitler voulait à  tout prix détruire le communisme et la  » judéocratie  » qui pour lui allaient de pair, grâce au national-socialisme qu’il avait érigé en doctrine. En somme il aurait souhaité anéantir une idéologie totalitaire par une autre idéologie elle-même encore plus totalitaire…quel paradoxe !

 » Comment Satan peut-il chasser Satan ? «  demandait Jésus aux scribes, constatant que  » tout royaume divisé contre lui-même ne peut subsister, et si une maison est divisée contre elle-même, cette maison ne peut subsister. «  (Mc 3 :24)

Le Nouvel Ordre Mondial est une résurgence du totalitarisme marxiste, il s’inscrit bel et bien dans la continuité du nazisme dont il est le plus proche parent.

La Shoah n’est hélas que le prélude à  une extermination encore plus radicale, programmée de longue date afin de permettre à  des monstres particulièrement cruels de régner sans partage et d’assouvir leurs prétentions sur un monde désormais soumis, maintenu dans l’esclavage de la peur et de l’abêtissement, un monde où la raison du plus fort régnera en maître absolu.

 » Quand il ouvrit le quatrième sceau, j’entendis la voix du quatrième être vivant qui disait : Viens ; Je regardai, et voici, parut un cheval d’une couleur verdâtre. Celui qui le montait se nommait la mort, et le séjour des morts l’accompagnait. Le pouvoir lui fut donné sur le quart de la terre, pour faire périr les hommes par l’épée, par la famine, par la mortalité, et par les bêtes sauvages de la terre.  » (Apo 6 :7-8)

 » Et l’Esprit et l’épouse disent : Viens. Et que celui qui entend dise : Viens  » (Apo 22 :17)

Soyez bénis.

(*) Source : Inrealiffe.be