Avec Christ, les voleurs, les assassins, ont droit au pardon s’ils acceptent de se repentir.

Avec Christ, aucun pécheur n’a droit au mépris, alors qu’avec Bouddha ou Mahomet, c’est le contraire.

Nous voyons un exemple de pardon très frappant dans l’épisode de la femme adultère , alors que tous voulaient la lapider pour sa faute, Jésus reprenant la foule, demande s’il y en a un parmi eux qui soit sans péché afin qu’il jette la première Pierre.

Il ne s’est trouvé personne pour le faire, car tous étaient coupables de quelque chose. Comme personne ne répondit, il laissa aller la femme, mais lui recommanda de ne plus commettre d’adultère. Il rappela ainsi aux hommes que seul celui qui n’avait jamais commis de faute dans sa vie pouvait devenir juge des autres.

De tels préceptes sont inexistants dans la philosophie ou les doctrines de la plupart des chefs religieux, quelle que soit leur religion !

================

Jésus n’a jamais minimisé le péché dans la vie d’un homme, au contraire ! Le rachat des pécheurs lui a coûté cher, si cher que tous les trésors du monde et de l’univers n’auraient pas suffi. Il fallait le sang de l’Agneau immolé !

Ni Mahomet, ni Bouddha ne sont morts pour leurs adeptes, et ne sont ressuscités !

Jésus, SI !

C’est pourquoi il peut donner au pécheur une voie nouvelle, celle de l’obéissance.

Quel est le chef religieux, même après avoir mené une longue ascèse, peut prétendre être exempt de tout péché comme l’a été Jésus ? La loi mosaïque dit que si nous péchons contre un commandement, nous péchons contre tous. Celui qui se connaît un tant soit peu, et qui est honnête avec lui-même, sait qu’il ne peut se prétendre juste !

Même si un homme a pu un temps se détourner de la convoitise de la chair, il n’aura jamais, sans le Saint-Esprit donné par Christ, la force et la capacité de persévérer de façon continuelle. Un jour il flanchera, car nous le savons, nous sommes tous limités. Les yogi qui veulent se faire passer pour de saints hommes sont des menteurs et des hypocrites ! Ils sont le plus souvent d’un orgueil monstrueux !

Sans Christ, qui ôte nos péchés lorsque nous nous repentons, il n’y a pas de sainteté possible !

D’ailleurs, lorsque nous lisons les fondements des diverses doctrines qui nous sont présentées par les opposants au Christ, nous ne voyons écrit nulle part que le fondateur de leur religion va revenir ! Si leurs fondateurs avaient été saints, la mort n’aurait pu les retenir: ils seraient revenus ! C’est pourquoi certains inventent le mythe de la réincarnation ! Bouddha est censé se réincarner. Les pharaons égyptiens, déifiés, étaient censés se réincarner un jour: c’est pourquoi on leur bâtissait des pyramides-tombeau : pour protéger leur corps de la putréfaction. Ils se sont quand même putréfiés !

Jésus n’a pas annoncé qu’il allait se « réincarner » sous une quelconque apparence. Il est ressuscité: personne ne pouvait s’y tromper: il portait encore la marque des clous dans les mains. Même Thomas l’incrédule a pu le constater !

Il est ressuscité ! Son tombeau était vide, et plus de 500 l’ont vu (1Cor 15:6). Il reviendra avec un corps glorifié, et TOUTE LA PLANÈTE LE VERRA. Ce temps est proche !

Mahomet n’a jamais dit qu’il reviendrait. Il s’est contenté d’imposer un pèlerinage à  la Mecque. Il a, par contre, recommandé d’interroger les possesseurs du « Livre » c’est-à -dire les possesseurs de la Bible (les chrétiens !) (Sourate III verset 183).

Jamais Jésus n’a agi en despote, à l’instar de Mahomet à  Medine. Jamais Jésus n’a lutté avec des troupes armées pour combattre ceux qui ne souhaitaient pas être convertis à sa doctrine, comme l’a fait Mahomet avec ceux qui ne voulaient pas subir son hégémonie. Il n’a jamais imposé de baiser une pierre noire à fort symbolisme ésotérique.

Alors que le Coran est un livre qui oblige le fidèle à  réciter des litanies, Jésus, lui au contraire préconise de ne pas nous étendre en vaines litanies (Mt 6:7).

Nous, les chrétiens nés-de-nouveau, lavés par le sang de l’Agneau, nous pouvons parler à notre Père céleste comme nous parlerions à notre Papa, parce qu’Il nous a adoptés !

Et si DIEU nous dévoile sans ménagement notre état, Il nous tend toujours en parallèle une main secourable, à  travers Christ.

«  Venez à  moi vous qui êtes chargés et fatigués et je vous donnerai du repos « (Mat 11:28)

Toute Piété, même sincère, si elle ne se réclame pas de l’évangile, est illusoire.

La Djihâd, considérée par l’islam comme le sixième pilier de la foi est contraire à l’enseignement sur le pardon et la rédemption. Comment concilier un verset coranique qui stipule :  » lorsque vous rencontrez des infidèles, tuez-lez au point d’en faire un grand carnage «  avec le commandement de Jésus de pardonner, comme le père nous a pardonné ?

Si l’évangile est la religion du sacrifice, elle ne l’est pas pour celui qui a été touché par la grâce de DIEU, mais elle l’est pour l’homme et sa chair qui crie au sandale tout en portant les mains à ses yeux pour ne pas voir les bienfaits de DIEU.

L’homme pécheur, lié par Satan, ne veut pas que DIEU puisse le voir tel qu’il est.

Obstiné dans sa morgue, il tente en vain de concilier la satisfaction de sa chair et un culte aux dieux qu’il se fabrique.

Pourtant la chair est ennemie de l’esprit ! Avec le vrai Dieu, la chair doit être mise à mort, sans pitié: ce n’est pas à elle de dicter sa volonté !

Hélas, dans la chrétienté aussi, les hommes sont tombés dans le piège ! Sous le couvert d’un prétendu christianisme, le légalisme religieux des rites païens est réapparu (cf: Magistère – parole humaine – placé au-dessus de la Bible, parole divine). Même si l’on a remplacé les déesses « Ishtar » , »astarté », Isis, Semiramis, Diane, etc. par « Marie » mère de Jésus, et Zeus par DIEU (Dieu étant un nom générique: mais pour les Chrétiens et les Juifs, Il n’y a qu’un seul Dieu, le même: le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob, Jésus-Christ), dans ce que l’on nomme le christianisme traditionnel, nombre de rites ont été empruntés au paganisme Acadien, Celte, Egyptien, Grec, Assyrien ou Babylonien !

Dans ce christianisme-là, aussi, on s’est efforcé de concilier l’inconciliable, et qui est contraire à l’enseignement du Christ, qui dit que l’on ne peut pas servir deux maîtres à la fois. En arrière plan, c’est toujours Satan qui pousse l’homme religieux à de vastes et savants compromis, en faisant croire a l’homme que le fait de faire des « bonnes œuvres » ou des « sacrifices », lui permettra d’être absous par DIEU, et de se racheter lui-même.

Le sacrifice de Jésus et la résurrection ne sont plus que des épisodes secondaires, puisque certains courants chrétiens ont trouvé pour se sauver d’autres chemins que la Croix !

Mais l’apostasie gagne tous les courants chrétiens. Si l’on ne s’y tourne pas vers des faux dieux comme Marie, à  adorer et prier, beaucoup de chrétiens ont en secret d’autres dieux, type Mammon, lequel se déguise fort bien sous les couleurs de la raison, de la saine économie, de la sagesse (humaine !)…

Parce que la folie de la Croix est absolument contraire à  la nature orgueilleuse de l’homme, ce dernier aura toujours un mal fou à  croire qu’il peut accéder au salut GRATUITEMENT, sans œuvres, sans sacrifice, simplement en s’agenouillant devant le Roi des rois et en acceptant qu’Il se soit donné en rançon à  la croix, pour ceux qui le haïssaient sans jamais l’avoir rencontré !