Voilà  une découverte archéologique importante qui va faire grincer les dents des menteurs palestiniens : une pièce rarissime a été découverte par des archéologues dans une fouille de Jérusalem: l’empreinte d’un sceau datant de 2700 ans.

Problème qui explique que peu de médias en parleront, cette période correspond à  celle du premier temple juif dans la capitale israélienne dont l’UNESCO nie l’existence sans la moindre résistance des journalistes, et le sceau appartenait à  un gouverneur juif, et non à  un Palestinien.

Le sceau en argile datant de 2.700 ans découvert à  Jérusalem a été présenté lundi par  l’Autorité israélienne des Antiquités comme une énième preuve matérielle que la ville est juive depuis les temps les plus reculés. Les Arabes palestiniens n’ont jamais découvert la moindre trace archéologique de leur présence et pour cause : ils ne sont là  que depuis les années 60 !

L’artefact rond, de la taille d’un bouton, a été découvert dans un bâtiment près du mur des Lamentations, dans la Vieille ville juive de Jérusalem. Il date du sixième ou septième siècle avant Jésus Christ et illustre l’existence d’un dirigeant juif, un gouverneur, à  Jérusalem, a ajouté l’Autorité dans un communiqué.

Et la période de datation correspond à  celle du premier temple juif dans la ville sainte, temple juif dont les Arabes palestiniens nient l’existence !

En dessous de cette représentation, une inscription en ancien hébreu indique: « Au gouverneur de la ville », ce qui correspond aux fonctions de maire.

Le sceau était apparemment attaché à  une sorte de livraison et servait « de logo ou d’un petit souvenir, envoyé au nom du gouverneur de la ville », a affirmé Shlomit Weksler-Bdolah, qui participe aux fouilles de l’Autorité des Antiquités au mur des Lamentations.

« C’est une découverte très rare », a-t-elle affirmé à  l’AFP car le sceau confirme pour la première fois la mention présente dans la Bible qu’il y avait un gouverneur à  Jérusalem.

« L’importance de cette découverte réside dans le fait que jusqu’à  présent, nous ne connaissions l’expression de ‘gouverneur de la ville’ que par la Bible », a-t-elle souligné.

« C’est la première fois que nous trouvons cette mention dans un contexte archéologique (…). »

Les révisionnistes, avec cette découverte, n’auront qu’une option : ignorer cette découverte, car ils n’oseront pas, au risque de se ridiculiser, contester la réputation de sérieux de  l’Autorité israélienne des Antiquités, mondialement respectée par les experts.

Et les médias se feront très discrets, car le narratif qu’Israël a volé la terre des Palestiniens et qu’ils n’ont aucune légitimité dans la région est la position officielle et indiscutable des journalistes.

 

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