Suite de 1, 2  et 3

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Avant de continuer sur l’incrédulité, et ses conséquences bibliques, on va souffler un peu. Car Dieu nous a donné tout ce qu’il nous fallait pour fortifier notre foi.

La première clé, c’est l’obéissance, avec un cœur d’enfant et sans se poser de questions. Cette obéissance, fruit d’une foi qui s’appuie sur la connaissance de Dieu et de sa parole, déclenche de tels miracles et prodiges qu’elle augmente encore et encore la foi  ; C’est une progression arithmétique  ! Plus on obéit, plus on voit la main de Dieu, plus on voit la main de Dieu, plus la foi augmente,  et plus la foi augmente, plus on obéit à  Dieu …!

On peut en voir un exemple, parmi bien d’autres, à  travers Moïse et Aaron, face à  Pharaon, qui voient des prodiges fous en obéissant à  Dieu au doigt et à  l’œil  ! On peut aussi le voir avec Pierre, refusant de se taire malgré les injonctions des autorités, jeté en prison, et qui va ressortir de manière miraculeuse, si miraculeuse que même ceux qui ont intercédé pour qu’il soit libéré ont du mal à  y croire  ! (Actes 12)

On pourrait citer des centaines  d’exemples bibliques. C’est une constante. Le murmures ferment le ciel, l’obéissance l’ouvre !

2 – La seconde clé, et certes pas la moindre : La louange, même dans les pires circonstances.

Prenons l’exemple de Jonas, mettons-nous à  sa place dans l’estomac du cachalot, et voici ce que nous serions beaucoup (nous, tous les râleurs) à  crier en priant.

 »  Seigneur, regarde ce qu‘ils m‘ont fait, ces méchants marins  ! Ce n‘est pas juste. Je n‘ai rien fait, moi, sauf me sauver quand tu m‘as envoyé dans une mission impossible où j‘avais 99 chances sur 100  d‘être lapidé. N‘importe qui en aurait fait autant à  ma place  ! Ninive, tu le sais d‘avance, cette ville la plus méchante de la terre, ne se repentira jamais. C‘est une mission inutile, impossible. Pourquoi m‘as-tu envoyé, moi, qui ne suis qu‘un vermisseau  : je suis bouvier, pas prophète. Envoie un vrai prophète à  ma place  : eux, ils ont l‘habitude de se faire lapider, se faire jeter dans une citerne ou se faire scier en deux. Mais pas moi  ! C‘était normal que je m‘enfuie par le premier bateau venu, aussi loin que possible. En sus, ces marins qui se mettent à  croire en toi et dans le fait que c‘est à  cause de moi qu‘ils risquent de périr et qui me jettent à  l’eau. Je n‘ai rien fait, moi, je dormais tranquillement au fond de la cale.

 

Et regarde à  présent les conditions épouvantables dans lesquelles je me trouve  : dans les entrailles d‘un poisson, à  moitié asphyxié, recevant à  chaque respiration de la bête des tas d’embruns avec des déchets qui me cognent et me blessent . Heureusement qu‘ils n‘ont pas encore inventé les boites de conserve  ! Je serais assommé pour de bon, j‘aurais des coupures partout… Mais Dieu, qu‘est-ce que tu fais  ! Comment tu peux permettre que ton humble serviteur souffre autant, alors qu‘il n‘a rien fait  ! Au nom du Jésus qui va un jour venir sur terre, j‘ordonne à  ce poisson de me recracher.

Mais pourquoi ça ne marche pas  ? Je ne comprends vraiment pas pourquoi puisqu’il sera un jour  écrit que je peux marcher sur les serpents et les scorpions et que, donc, rien ne peut me nuire ! Les cachalots, c’est une exception ?

Oui, je fais bien de me mettre en colère, parce que ce n‘est pas juste ….  « 

Bien sûr, en bons chrétiens nés de nouveau, jamais ce ne serait notre langage. Comme Jonas nous nous écrierions  :

(Notons que cette prière est lancée DANS LE VENTRE DU POISSON  !)

Jonas  :

Jon 2  :1 Jonas, dans le ventre du poisson, pria l’Eternel, son Dieu. 2 Il dit : Dans ma détresse, j’ai invoqué l’Eternel, Et il m’a exaucé; Du sein du séjour des morts j’ai crié, Et tu as entendu ma voix. 3 Tu m’as jeté dans l’abîme, dans le coeur de la mer, Et les courants d’eau m’ont environné; Toutes tes vagues et tous tes flots ont passé sur moi.

4 Je disais : Je suis chassé loin de ton regard ! Mais je verrai encore ton saint temple. 5 Les eaux m’ont couvert jusqu’à  m’ôter la vie, L’abîme m’a enveloppé, Les roseaux ont entouré ma tête.

6 Je suis descendu jusqu’aux racines des montagnes, Les barres de la terre m’enfermaient pour toujours; Mais tu m’as fait remonter vivant de la fosse, Eternel, mon Dieu ! 7 Quand mon âme était abattue au dedans de moi, Je me suis souvenu de l’Eternel, Et ma prière est parvenue jusqu’à  toi, Dans ton saint temple.

8 Ceux qui s’attachent à  de vaines idoles Eloignent d’eux la miséricorde. 9 Pour moi, je t’offrirai des sacrifices avec un cri d’actions de grâces, J’accomplirai les voeux que j’ai faits : Le salut vient de l’Eternel.

10 L’Eternel parla au poisson, et le poisson vomit Jonas sur la terre.

 

Voilà , par avance Jonas proclame des actions de grâces, sa confiance en Dieu, au lieu de faiblir, s’est accrue, il loue Dieu  : «   Le salut vient de lEternel  « .

La réponse de Dieu est immédiate  :

 

10   »    L’Eternel parla au poisson, et le poisson vomit Jonas sur la terre.   »  

 !

Qui croit encore que Dieu n’entendrait pas notre voix quand nous crions à  Lui, et qu’Il ne peut pas tout faire  ? Y compris parler à  un poisson qui obéit illico… et sans poser de questions  !

Mais Jonas est décidément un râleur chronique, comme les Hébreux en Exode. À contrecœur et sans doute en tremblant, il va proclamer les paroles de Dieu à  Ninive, et toute la ville se repent, dès le premier jour. Un miracle fou a donc eu lieu et Jonas devrait être dans la joie.

Pas du tout  !

1 Cela déplut fort à  Jonas (la salut de Ninive), et il fut irrité. 2 Il implora l’Eternel, et il dit : Ah ! Eternel, n’est-ce pas ce que je disais quand j’étais encore dans mon pays ? C’est ce que je voulais prévenir en fuyant à  Tarsis. Car je savais que tu es un Dieu compatissant et miséricordieux, lent à  la colère et riche en bonté, et qui te repens du mal. 3 Maintenant, Eternel, prends-moi donc la vie, car la mort m’est préférable à  la vie.

Jonas préférait la mort de 120.000 hommes plutôt que son avertissement  prophétique  soit désavoué  par Dieu !

4 L’Eternel répondit : Fais-tu bien de t’irriter ?

Après avoir parlé au poisson, Dieu va ordonner à  un ver de terre de venir et de manger le ricin.

Oui, Dieu est aussi le Dieu des vers de terre, et ceux-ci lui obéissent sans poser de questions !

Réaction de Jonas  :

 

8 Au lever du soleil, Dieu fit souffler un vent chaud d’orient, et le soleil frappa la tête de Jonas, au point qu’il tomba en défaillance. Il demanda la mort, et dit : La mort m’est préférable à  la vie. 9 Dieu dit à  Jonas : Fais-tu bien de t’irriter à  cause du ricin ? Il répondit : Je fais bien de m’irriter jusqu’à  la mort. 10 Et l’Eternel dit : Tu as pitié du ricin qui ne t’a coûté aucune peine et que tu n’as pas fait croître, qui est né dans une nuit et qui a péri dans une nuit. 11 Et moi, je n’aurais pas pitié de Ninive, la grande ville, dans laquelle se trouvent plus de cent vingt mille hommes qui ne savent pas distinguer leur droite de leur gauche, et des animaux en grand nombre !

 

Notons que Dieu a même pitié des animaux. N’aurait-Il pas pitié des hommes  ? Si, Il en a pitié, sous réserve que les hommes se repentent, lui fassent confiance et lui obéissent… comme des vers de terre  !

Mais Il n’a pas pitié des méchants qui ne veulent pas se repentir  :

Ezé 9  :8 Comme ils (des anges) frappaient, et que je restais encore, je tombai sur ma face, et je m’écriai : Ah ! Seigneur Eternel, détruiras-tu tout ce qui reste d’Israël, en répandant ta fureur sur Jérusalem ? 9 Il me répondit : L’iniquité de la maison d’Israël et de Juda est grande, excessive; le pays est rempli de meurtres, la ville est pleine d’injustice, car ils disent : L’Eternel a abandonné le pays, l’Eternel ne voit rien. 10 Moi aussi, je serai sans pitié, et je n’aurai point de miséricorde; je ferai retomber leurs oeuvres sur leur tête.

Les méchants ou les pécheurs, dans la Parole de Dieu, c’est exactement la même chose, car le péché entraîne des conséquences graves, pour soi et pour les autres.

 

Vous savez ce qui se passa ensuite  pour Jonas? Personne ne le sait, car ce n’est pas écrit, mais on peut facilement penser que Jonas, dont on ne parlera plus jamais, est passé à  côté d’une grande bénédiction, avec ses murmures et ses contestations, tout comme les Hébreux qui périrent dans le désert… Et c’est d’ailleurs par un reproche plutôt cinglant de Dieu, qui met Jonas face à  son manque de pitié et à  son égocentrisme, que se termine ce livre.

Quelle  différence avec Job dont pourtant l’épouse conseille  :  »  Maudis Dieu et meurs  « , face à  des épreuves qui dévalent en cascade, des épreuves vraiment terribles si on les regarde de près – chacune d’entre elle aurait poussé la grande majorité des gens soit, effectivement, à  maudire Dieu, soit au suicide  ! Car trop, c’est trop. Et pourtant, Job, lui, n’est même pas coupable d’une désobéissance devant Dieu, et c’est Dieu qui le dit  !

Même s’il ne comprend pas le pourquoi de tant de maux, perdant tout et frappé jusque dans sa chair, Job continue à  avoir confiance en Dieu, même quand tous ses amis  »  chrétiens   » le harcèlent pour lui faire avouer que si tout cela lui arrive, c’est parce qu’il est fautif  ! Sa fin va être tout autre que celle de Jonas  :

D’abord, sa repentance, juste pour ses doutes  :

42  :1 Job répondit à  l’Eternel et dit : 2 Je reconnais que tu peux tout, Et que rien ne s’oppose à  tes pensées. 3 Quel est celui qui a la folie d’obscurcir mes desseins ?Oui, j’ai parlé, sans les comprendre, De merveilles qui me dépassent et que je ne conçois pas. 4 Ecoute-moi, et je parlerai; Je t’interrogerai, et tu m’instruiras. 5 Mon oreille avait entendu parler de toi; Mais maintenant mon oeil t’a vu. 6 C’est pourquoi je me condamne et je me repens Sur la poussière et sur la cendre.

 

10 L’Eternel rétablit Job dans son premier état, quand Job eut prié pour ses amis; et l’Eternel lui accorda le double de tout ce qu’il avait possédé.

11 Les frères, les soeurs, et les anciens amis de Job vinrent tous le visiter, et ils mangèrent avec lui dans sa maison. Ils le plaignirent et le consolèrent de tous les malheurs que l’Eternel avait fait venir sur lui, et chacun lui donna un kesita et un anneau d’or.

12 Pendant ses dernières années, Job reçut de l’Eternel plus de bénédictions qu’il n’en avait reçu dans les premières. Il posséda quatorze mille brebis, six mille chameaux, mille Paires de boeufs, et mille ânesses. 13 Il eut sept fils et trois filles : 14 il donna à  la première le nom de Jemima, à  la seconde celui de Ketsia, et à  la troisième celui de Kéren-Happuc. 15 Il n’y avait pas dans tout le pays d’aussi belles femmes que les filles de Job. Leur père leur accorda une part d’héritage parmi leurs frères.

16 Job vécut après cela cent quarante ans, et il vit ses fils et les fils de ses fils jusqu’à  la quatrième génération. 17 Et Job mourut âgé et rassasié de jours.

 

Waouh  ! C’est  »  payant   » de faire confiance en Dieu même dans des circonstances insupportables et apparemment imméritées.

Dieu aurait-Il changé  ? NON  !

C’est bien en lisant la Parole de Dieu et en croyant en ses promesses que nous  pouvons placer notre confiance en Lui : nous réalisons alors que Dieu est en contrôle de tout, qu’Il nous aime et veut le meilleur pour nous.

Notre problème est que nous mettons en avant nos désirs immédiats, même s’ils sont  légitimes, sans considérer l’objectif de Dieu :  nous conduire à  la stature parfaite de Christ. L’objectif premier de  Dieu est notre éternité avec Lui ; Tandis que  nos objectifs  sont trop souvent  la satisfaction de besoins terrestres immédiats.

Mais comment bien connaître Dieu  ? La Bible le démontre : lui faire une confiance absolue parce que les bénédictions qui s’ensuivront, même si elles se font attendre, augmenteront notre foi, et surtout notre connaissance de Dieu. Comme pour Job à  qui Dieu se révèle dans sa grandeur, en lui parlant un très long moment (trois chapitres  !). On peut agir ainsi simplement par intelligence. Mais on peut encore faire mieux  : louer  Dieu, par amour, et parce que seul Lui est digne de nos louanges et de notre adoration ! LUI SEUL

APOC 5  : 11 Je regardai, et j’entendis la voix de beaucoup d’anges autour du trône et des êtres vivants et des vieillards, et leur nombre était des myriades de myriades et des milliers de milliers. 12 Ils disaient d’une voix forte : L’agneau qui a été immolé est digne de recevoir la puissance, la richesse, la sagesse, la force, l’honneur, la gloire, et la louange.

13 Et toutes les créatures qui sont dans le ciel, sur la terre, sous la terre, sur la mer, et tout ce qui s’y trouve, je les entendis qui disaient : A celui qui est assis sur le trône, et à  l’agneau, soient la louange, l’honneur, la gloire, et la force, aux siècles des siècles ! 14 Et les quatre êtres vivants disaient : Amen ! Et les vieillards se prosternèrent et adorèrent.

LA LOUANGE

Qu’est-ce que louer Dieu  ?

C’est dire à  Dieu qui Il est, ce qu’il a fait, donc ce qu’il refera. N’oublions aucun de ses bienfaits, proclamons-les, et notre louange deviendra pour nous comme une seconde nature. On peut aussi proclamer les psaumes. En fait, toute la Bible est truffée de louanges à  Dieu. Tous les héros de la Bible, que ce soit de l’AT ou du NT, n’ont cessé de proclamer qui était Dieu, et qui était Jésus-Christ (Dieu venu sur terre au milieu de nous, par amour). La dimension de l’œuvre de la croix de Jésus ajoute une toute autre dimension à  la louange des héros de l’AT, bien que la plupart aient eu la prescience de ce que Dieu avait prévu pour sauver sa créature déchue, comme Abraham apportant son (fils)  »    unique   » (Ge 22:2, 12, 16) en sacrifice, ou Abel sacrifiant un agneau.

L’irruption du dogme grec de la Trinité dans la chrétienté a faussé toute l’immensité de Christ. On a rapetissé Jésus-Christ à  l’état de bébé impuissant, aujourd’hui à  celui d’un copain tolérant, parce que  »  humain  « .

S’il peut compatir à  nos faiblesses, cela ne veut pas dire qu’Il les agrée  !

Il va tout faire pour nous transformer.

Le petit Jésus ou le Jésus copain, c’est un autre Jésus (2 Co 11  :4), c’est un autre dieu, et personne ne le craint  ; Et quand on Le loue, bien trop souvent, ce n’est pas pour rappeler qu’Il est

-le Tout-Puissant (Apoc 1  :8),

-le Créateur de tout (Jn 1),

-l’Eternel (Héb 7),

-le seul Eternel (Deu 6:4 – Za 14:9),

-le commencement et la fin,

-le Premier et le Dernier (Apoc 1),

-Celui à  qui tout le jugement a été remis (Jn 5  :22).

…. Et j’en passe beaucoup !

On ne le loue pas pour ce qu’Il est, mais juste parce qu’Il nous a sauvés, ou pour ce qu’Il a déjà  fait pour nous,  et parce qu’en Son nom, on pense pouvoir tout avoir et tout faire…

Bien sûr, c’est bien, mais c’est une louange qui n’est centrée que sur  nous-mêmes, qui concentre nos regards sur nous-mêmes, au lieu d’être fixée sur Lui, le Soleil de justice, l’Étoile du matin …

C’est une bonne louange, mais c’est une louange sans puissance.  On ne voit en Jésus-Christ  que l’homme, et non le Tout-Puissant Créateur ( cf Es. 9,6 :  Dieu Tout-Puissant, Père Eternel… ), régnant souverainement sur tout et sur le moindre détail de l’univers. Il est dans le Père, comme Il l’a dit, et c’est bien Lui qui compte chaque cheveu de notre tête puisqu’Il ne fait qu’un avec le Père.

Il est tout en tout !

 »  Car toute la plénitude de Dieu habite en lui CORPORELLEMENT  «  Col 2:9

Lui-même l’a dit  :

 

 » Et alors apparaîtra dans le ciel le signe du Fils de lhomme »‰; et alors toutes les races de la terre se frapperont la poitrine »‰; et lon verra le Fils de lhomme venant sur les nuées du ciel avec puissance et grande gloire. Et il enverra ses anges avec une trompette sonore, pour assembler les élus des quatre vents, des extrémités des cieux à  leurs extrémités  » (Mt 24, 4-44)

Oui, Jésus va revenir sous une  apparence de  »  Fils d’homme   » afin que tout oeil puisse le voir sans mourir !

(1  Tm  6,  14) …

Jusqu’à  l’apparition de notre Seigneur Jésus Christ,  15  que manifestera en son temps le bienheureux et seul souverain, le roi des rois, et le Seigneur des seigneurs,  16  qui seul possède l’immortalité, qui habite une lumière inaccessible, que nul homme n’a vu ni ne peut voir, à  qui appartiennent l’honneur et la puissance éternelle. Amen !

Qui est le Roi des rois, le Seigneur des Seigneurs  ?

Jean répond  :

Apocalypse 19:16

Il avait sur son vêtement et sur sa cuisse un nom écrit : Roi des rois et Seigneur des seigneurs.

Le Roi des rois, le Seigneur des seigneurs, c’est Jésus-Christ. S’il est le seul à  posséder l’immortalité, comme le rappelle Paul en 1 Tim 6  :16, c’est qu’il est l’unique Dieu, et non un morceau de Dieu  !  Durant le temps de son incarnation, Il n’était qu’un reflet du Dieu Tout puissant, la lumière venue dans le monde, une  part supportable par l’homme de la lumière qu’est Dieu, que l’homme ne peut voir et vivre . Et comme Dieu  est omniprésent, Il pouvait bien sûr être au ciel en tant que Père (= Créateur de tout), et sur terre en tant que  »  fils de l’homme  « , comme Il se nommait lui-même.

Apoc 19  :6 est précédé de  :

12  Ses yeux étaient comme une flamme de feu; sur sa tête étaient plusieurs diadèmes; il avait un nom écrit, que personne ne connaît, si ce n’est lui-même;  13  et il était revêtu d’un vêtement teint de sang. Son nom est la Parole de Dieu.  14  Les armées qui sont dans le ciel le suivaient sur des chevaux blancs, revêtues d’un fin lin, blanc, pur.  15  De sa bouche sortait une épée aiguë, pour frapper les nations; il les paîtra avec une verge de fer; et il foulera la cuve du vin de l’ardente colère du Dieu tout-puissant.  

C’est Lui le Dieu trois fois saint, redoutable, et il n’y en a point d’autre

Esaïe 45:5

Je suis l’Eternel, et il n’y en a point d’autre, Hors moi il n’y a point de Dieu;

C’est afin que l’on sache, du soleil levant au soleil couchant, 46 – Que hors moi il n’y a point de Dieu: Je suis l’Eternel, et il n’y en a point d’autre.

1 Chroniques 17:20

O Eternel ! nul n’est semblable à  toi et il n’y a point d’autre Dieu que toi, d’après tout ce que nous avons entendu de nos oreilles.

Quelles louanges véritables !  Celles-là  sont fondées sur ce que Dieu dit:

Esaïe 45:18

Car ainsi parle l’Eternel, Le créateur des cieux, le seul Dieu, Qui a formé la terre, qui l’a faite et qui l’a affermie, Qui l’a créée pour qu’elle ne fût pas déserte, Qui l’a formée pour qu’elle fût habitée : Je suis l’Eternel, et il n’y en a point d’autre.

 »  Je suis l’Eternel, et il n’y en a point d’autre.  « , c’est dit 115 fois dans la Bible, et ce fut répété durant des millénaires. Il n’y a qu’un seul Eternel, qu’un seul Dieu, qui s’est souvent présenté aux hommes sous forme humaine ou angélique, ou sous forme de rocher ou de buisson ardent, ou de colombe, ou d’aigle ou symbolisé par un lion, ou encore sous l’apparence un homme vêtu de lin avec un écritoire à  la main  (Ézechiel, Daniel, Ps 45). Ecritoire car il est la Parole de Dieu, et la Parole  est Dieu (Jn 1).

Oui, Jésus-Christ HOMME fut  le reflet  visible, pour l’homme, du Tout Puissant qu’aucun homme n’aurait pu  voir sans en mourir.

Où est-il, notre Dieu  ? Partout, mais plus particulièrement au milieu des louanges de son peuple.

Avec un plus pour son peuple élu, qui a tant souffert pour apporter cette lumière parmi les nations.

Pour ceux qui en douteraient et qui avalent la doctrine du remplacement  :

Joël 2:27

Et vous saurez que je suis au milieu d’Israël, Que je suis l’Eternel, votre Dieu, et qu’il n’y en a point d’autre, Et mon peuple ne sera plus jamais dans la confusion.

Psaumes 121:4

Voici, il ne sommeille ni ne dort, Celui qui garde Israël.

 

Voyons qui est Celui qui va revenir durant le millénium pour régner: Comparons  :

Zac 14  : 3 L’Eternel (YWHW) paraîtra, et il combattra ces nations, Comme il combat au jour de la bataille. 4 Ses pieds se poseront en ce jour sur la montagne des oliviers, Qui est vis-à -vis de Jérusalem, du côté de l’orient;

 

Acte 1  :10 Et comme ils avaient les regards fixés vers le ciel pendant qu’il s’en allait, voici, deux hommes vêtus de blanc leur apparurent, 11 et dirent : Hommes Galiléens, pourquoi vous arrêtez-vous à  regarder au ciel ? Ce Jésus, qui a été enlevé au ciel du milieu de vous, viendra de la même manière que vous l’avez vu allant au ciel.

12 Alors ils retournèrent à  Jérusalem, de la montagne appelée des oliviers, qui est près de Jérusalem, à  la distance d’un chemin de sabbat

Y aurait-il deux retours, celui de l’Eternel, puis celui de Jésus, et les deux sur le mont des Oliviers  ? Absurde, c’est bien l’Eternel qui va revenir, dans un corps glorifié mais visible par l’homme.

Apocalypse 1:7

Voici, il vient avec les nuées. Et tout oeil le verra, même ceux qui l’ont percé; et toutes les tribus de la terre se lamenteront à  cause de lui. Oui. Amen !

Oui, Jésus est l’Eternel, celui dont la lettre aux Hébreux (7) dit  :

(Melchisédek ) -qui est d’abord roi de justice, d’après la signification de son nom, ensuite roi de Salem, c’est-à -dire roi de paix,- 3 qui est sans père, sans mère, sans généalogie, qui n’a ni commencement de jours ni fin de vie,-mais qui est rendu semblable au Fils de Dieu,-ce Melchisédek demeure sacrificateur à  perpétuité.

C’est bien parce qu’on ne connaît pas le vrai Jésus que les louanges que nous créons sont souvent faibles ou centrées sur nous, sur ce qu’il a fait pour nous, et sur ce qu’il peut faire pour nous, au lieu d’être centrées sur Lui  ! Bien sûr, ce ne sont  pas de mauvaises louanges, mais quand on ne parle que de ce qu’Il est, Lui, le Véritable, de ce qu’il a fait et de ce qu’il fera, c’est notre foi qui s’accroît, parce que l’univers entier tremble devant Son nom.

Ecoutons le chant des Hébreux à  la sortie de la Mer Rouge, alors qu’ils ont vu la destruction de toute l’armée de Pharaon  :

 

Ex 15  :1 Alors Moïse et les enfants d’Israël chantèrent ce cantique à  l’Eternel. Ils dirent : Je chanterai à  l’Eternel, car il a fait éclater sa gloire; Il a précipité dans la mer le cheval et son cavalier.

2 L’Eternel est ma force et le sujet de mes louanges; C’est lui qui m’a sauvé. Il est mon Dieu : je le célèbrerai; Il est le Dieu de mon père : je l’exalterai. 3 L’Eternel est un vaillant guerrier; L’Eternel est son nom. 4 Il a lancé dans la mer les chars de Pharaon et son armée; Ses combattants d’élite ont été engloutis dans la mer Rouge. 5 Les flots les ont couverts : Ils sont descendus au fond des eaux, comme une pierre. 6 Ta droite, ô Eternel ! a signalé sa force; Ta droite, ô Eternel ! a écrasé l’ennemi. 7 Par la grandeur de ta majesté Tu renverses tes adversaires; Tu déchaînes ta colère : Elle les consume comme du chaume. 8 Au souffle de tes narines, les eaux se sont amoncelées, Les courants se sont dressés comme une muraille, Les flots se sont durcis au milieu de la mer. 9 L’ennemi disait : Je poursuivrai, j’atteindrai, Je partagerai le butin; Ma vengeance sera assouvie, Je tirerai l’épée, ma main les détruira. 10 Tu as soufflé de ton haleine : La mer les a couverts; Ils se sont enfoncés comme du plomb, Dans la profondeur des eaux.

11 Qui est comme toi parmi les dieux, ô Eternel ? Qui est comme toi magnifique en sainteté, Digne de louanges, Opérant des prodiges ? 12 Tu as étendu ta droite : La terre les a engloutis. 13 Par ta miséricorde tu as conduit, Tu as délivré ce peuple; Par ta puissance tu le diriges Vers la demeure de ta sainteté.

14 Les peuples l’apprennent, et ils tremblent : La terreur s’empare des Philistins; 15 Les chefs d’Edom s’épouvantent; Un tremblement saisit les guerriers de Moab; Tous les habitants de Canaan tombent en défaillance. 16 La crainte et la frayeur les surprendront; Par la grandeur de ton bras Ils deviendront muets comme une pierre, Jusqu’à  ce que ton peuple soit passé, ô Eternel ! Jusqu’à  ce qu’il soit passé, Le peuple que tu as acquis. 17 Tu les amèneras et tu les établiras sur la montagne de ton héritage, Au lieu que tu as préparé pour ta demeure, ô Eternel ! Au sanctuaire, Seigneur ! que tes mains ont fondé.

18 L’Eternel régnera éternellement et à  toujours. 19 Car les chevaux de Pharaon, ses chars et ses cavaliers sont entrés dans la mer, Et l’Eternel a ramené sur eux les eaux de la mer; Mais les enfants d’Israël ont marché à  sec au milieu de la mer.

Combien de temps cet enthousiasme, cette reconnaissance, cette louange, ces cris de joie, ont-ils duré  ?

TROIS JOURS  !

Immédiatement après, parce que leur chair criait de soif, ils ont commencé à  râler, à  réclamer, et plus aucune louange n’est sortie de leurs lèvres. Ce n’est pas la louange circonstancielle qui plaît à  Dieu, c’est la louange qui monte de nos cœurs même quand tout va de travers, parce que cette louange-là  est basée sur la foi dans qui est Dieu. Et cette louange-là  peut contraindre le cachalot qui nous retenait prisonnier de nous déposer sain et sauf sur la terre ferme  !

Quand nous prions, est-ce pour remercier Dieu en tout, comme l’ordonne Paul, et quelles que soient les circonstances, ou bien avons-nous fait notre liste de besoins ou de désirs, pour réclamer tout comme un dû, en son Nom   d’homme venu sur terre, car  »  JE SUIS   » est un nom trop grand pour être prononcé autrement que pour affirmer son éternité !

David s’écriait :  »  Loué soit l’Eternel, et je suis délivré de tous mes ennemis  « , … (Ps 18). Nous, avec notre  »   petit-Jésus  « , créé, et non seul Éternel et Créateur de tout, nous ne sommes ni délivrés, ni guéris, ni transformés de gloire en gloire, simplement parce qu’on loue quelqu’un que l’on ne connaît pas, et donc dans lequel on n’a pas la confiance absolue que l’on devrait avoir.

Pourtant  »  Il dit, et la chose existe  « , c’est écrit  !

Alors, louons le Roi des rois pour QUI IL EST, pour tout ce qu’il a fait, pour tout ce qu’il a promis et qu’il accomplira.

Comment le louer  ? Par la proclamation de qui Il est  : amour, lumière, omniprésent, omniscient, créateur de l’infiniment grand comme de l’infiniment petit, et qui a choisi de se faire homme pour pouvoir sauver, parmi ses créatures, celles qui entendraient sa voix et qui choisiraient de mourir à  ce monde pour le suivre Lui, le fidèle et véritable, dont l’amour surpasse toute connaissance.

Comment le louer  ? Certains lisent un psaume chaque jour, car les psaumes ne parlent que de cela  : l’indescriptible grandeur de Dieu, et son intervention inouïe dans la vie de ceux qui l’invoquent, et cela peut être mille fois par jour. Dieu ne se lasse jamais  !

Alors, nous verrons le ciel s’ouvrir  !

Apocalypse 19:5

Et une voix sortit du trône, disant : Louez notre Dieu, vous tous ses serviteurs, vous qui le craignez, petits et grands !

 

Lisons bien  : ce qui authentifie un vrai serviteur de Dieu, ce qui authentifie la qualité de sa louange, c’est qu’il craint Dieu, parce qu’Il Le connaît vraiment  !

Apocalypse 14:6 6 Je vis un autre ange qui volait par le milieu du ciel, ayant un Evangile éternel, pour l’annoncer aux habitants de la terre, à  toute nation, à  toute tribu, à  toute langue, et à  tout peuple. 7

Il disait d’une voix forte : Craignez Dieu, et donnez-lui gloire, car l’heure de son jugement est venue; et adorez celui qui a fait le ciel, et la terre, et la mer, et les sources d’eaux.

 

« CRAIGNEZ,  DONNEZ-LUI GLOIRE, ADOREZ  « , c’est un ordre, qui va avec la crainte de Dieu, donc la connaissance du vrai Dieu. Jésus disait  :  »  le jour vient où ceux qui adoreront adoreront en esprit et en vérité  « 

 

Quand on ne connaît pas le vrai Christ, le Véritable Dieu, notre adoration vient de nos sentiments, donc de notre chair. Cette adoration est la même, strictement la même, que l’adoration des musulmans pour  Allah, des Bouddhistes pour  leurs trois millions de dieux, des Francs maçons pour  Baphomet qui leur donne le pouvoir et la gloire (cf Mt 4), ou même l’adoration des laïcs pour  leurs idoles de chair, pouor le chocolat ou pour  leur chien  !

Mais quand on proclame qui est notre Dieu en proclamant ce que la Parole dit de lui, les ennemis s’enfuient, notre foi basée sur la Parole augmente, et le ciel s’ouvre  !

3 L’ÉPREUVE DE LA FOI

Il y a une troisième voie pour augmenter notre foi. Nous nous souvenons du cri des apôtres quand Jésus leur ordonne de pardonner jusqu’à  sept fois par jour à  celui qui pèche contre eux  :

 

 »  Seigneur, augmente nous la foi   » (Luc 17  :5)

Jésus ne va pas leur donner une recette miracle. Il va simplement les confronter à  leur manque de foi, commençant par leur dire  :

Si vous aviez de la foi comme un grain de sénevé, vous diriez à  ce sycomore : Déracine-toi, et plante-toi dans la mer; et il vous obéirait. (Lu 17  :6)

 

Je ne vais pas énumérer tous les épisodes auxquels ils ont été confrontés et qui les ont contraints à  faire le constat de leur manque de foi. Bien sûr, tout le monde se souvient du triple reniement de Pierre et de ses larmes amères  ; Mais depuis la dernière Cène jusqu’à  sa résurrection, c’est une accumulation de démonstrations d’incrédulité, de la part de tous les apôtres, et j’aurai l’occasion d’en reparler dans mon prochain article.

C’était un passage nécessaire  – le brisement de toute illusion sur eux-mêmes, la mort de leur moi – pour qu’ils commencent enfin à  comprendre qui était Jésus :

—>Dieu descendu en chair sur terre pour sauver ceux qui croiraient (Jn 1 – Jn 3:16 à  20 – Es 53)

—> Celui en qui ils n’avaient pas cru sauf quand cela les arrangeait, notamment quand  Jésus a commencé à  annoncer qu’il devait    mourir (Mt 16);

—> Celui qu’ils avaient laissé seul affronter la souffrance, au mont des Oliviers, alors que le sang coulait déjà  sur le front de Jésus, tandis qu’eux avaient préféré dormir  ;

—> Celui qu’ils avaient abandonné, quand on a arrêté Jésus, et cela pour sauver leur propre peau  ;

—> Celui qu’ils n’avaient pas su accompagner de leur compassion quand Jésus était en train d’agoniser sur la croix (sauf Jean)  ;

—> Celui qu’on venait d’enterrer et qu’ils avaient si peu cru qu’ils n’ont même pas voulu regarder où on mettait son corps (deux femmes, elles, l’ont fait)  ;

—> Celui qui était ressuscité, comme Jésus l’avait annoncé par avance à  de nombreuses reprises : ils sont rentrés chez eux.

Mais les femmes qui ont cru ont couru au tombeau, ont vu des anges, ont vu le tombeau vide… Marie-Madeleine, la première au tombeau, a été la première aussi à  Lui parler dans le jardin, après sa résurrection…

Je pourrai continuer, car c’est une ahurissante succession de  »  manqués   » de la part des apôtres, simplement parce qu’ils n’avaient pas cru au iota près tout ce que Jésus leur avait annoncé.

Mais une fois leur MOI brisé, cloué à  la croix, ils vont enfin être aptes à  obéir, d’abord en restant dix jours d’affilée dans la chambre haute, puisque Jésus leur avait ordonné de ne pas bouger, puis, le cœur transformé, en recevant la puissance promise.

 

Ac 1  : 8 Mais vous recevrez une puissance, le Saint-Esprit survenant sur vous, et vous serez mes témoins à  Jérusalem, dans toute la Judée, dans la Samarie, et jusqu’aux extrémités de la terre.

 

C’est ce qui s’est produit  !

Donc, la bonne nouvelle, c’est que nous avons le moyen de faire grandir notre foi… en croyant et en mettant en pratique, en proclamant qui est notre Dieu et en croyant ce que nous proclamons, au point que tous nos actes s’en ressentent et que nous pouvons vraiment dire que nous marchons par la foi…

Mais comme notre cou raide, notre nature rebelle, et notre vanité naturelle nous rendent bien difficile le circuit court  pour accéder à  la vraie foi, celle qui plaît à  Dieu, la moins bonne nouvelle est que Dieu n’a souvent pas d’autre choix que de nous faire passer par des épreuves et des brisements pour qu’enfin, enfin, on croit tout ce qu’Il dit  !!!!

Faut-il en pleurer ?

Non, ils faut s’en réjouir.

Seigneur, tout va de travers, rien ne fonctionne, mon mari m’a quitté, mes enfants se droguent, je viens de perdre mon travail, je n’ai plus de quoi vivre, …..

Exclamation de l’incroyant:

– Si Dieu existait, il ne permettrait pas cela !

Exclamation du croyant  qui ne connaît pas le Véritable:

– Qu’ai – je fait pour que cela m’arrive  ? C’est pas juste !  Arrière de moi, Satan  ! Je brise la malédiction au nom de Jésus ! Je me délie des paroles méchantes …

Exclamation de l’homme ou de la femme de foi:

– Seigneur, je ne comprends pas encore pourquoi tout cela m’arrive, mais je te fais confiance. Loué sois-tu, parce que tu règnes, tu es en contrôle de tout, et que tout ce qui arrive concourt à  mon bien et à  celui de ceux qui me sont proches et que tu appelles ! Je le crois car c’est écrit ! Béni sois-tu pour toutes mes épreuves …

… et voici ces derniers aussitôt recrachés sur la terre ferme par le vilain cachalot qui les avait engloutis !

Jacques 1  : 2 Mes frères, regardez comme un sujet de joie complète les diverses épreuves auxquelles vous pouvez être exposés, 3 sachant que l’épreuve de votre foi produit la patience. 4 Mais il faut que la patience accomplisse parfaitement son oeuvre, afin que vous soyez parfaits et accomplis, sans faillir en rien.

 

1 Pierre 1  : C’est là  ce qui fait votre joie, quoique maintenant, puisqu’il le faut, vous soyez attristés pour un peu de temps par diverses épreuves, 7 afin que l’épreuve de votre foi, plus précieuse que l’or périssable qui cependant est éprouvé par le feu, ait pour résultat la louange, la gloire et l’honneur, lorsque Jésus-Christ apparaîtra, 8 lui que vous aimez sans l’avoir vu, en qui vous croyez sans le voir encore, vous réjouissant d’une joie ineffable et glorieuse, 9 parce que vous obtiendrez le salut de vos âmes pour prix de votre foi.

Amen ?

Amen !